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Segi: Une organisation juvénile indépendantiste et socialiste
by guardia arrubia Sunday, Nov. 19, 2006 at 1:38 PM mail:

(ricevo da un compagno della Segi e inoltro)

Segi: Une organisation juvénile indépendantiste et socialiste

Les prochaines textes ont comme objectif donner une définition de la nature et le fonctionnement de l’organisation juvénile SEGI. Pour cela, on va essayer d’expliquer les bases idéologiques de notre lutte.


Le contexte : L’historie d’une lutte

Segi est un mouvement établi au Pays Basque. Et le Pays Basque est une réalité culturelle, sociale et politique que les états français et espagnol nient. Cette négation a eu des differentes faces pendant l’histoire et comme consèquence, notre langue a été interdite, le droit à s’organiser elle même économiquement, socialement et politiquement a été nié et elle a soufrit l’exploitation des ces resources naturelles. Finalement, la gestion politique des differents états ont volé la souveraineté à notre pays.

Mais face à cette situation, notre pays n’est pas celle qui regarde sans rien faire. L’histoire de notre pays est l’histoire d’un pays tenace dans la résistance. Dans le Pays Basque on a fait face avec détérmination á toutes les impositions et sa libération s’a développée réunant deux chemin differents : la libération nationale et la libération sociale. L’indépendance et le socialisme.

Pourquoi réunir ces deux chemins ? Ce n’est pas normal dans le contexte europén, de la perspective de gauche, celle de mettre en marche la lutte pour la libération nationale, mais pour nous au moins le lien est très clair, les mêmes responsable ont organisé pendant des sièclès l’imposition de notre pays, bien nationale et bien sociale et le même peuple a souffrit toutes les deux, le petit peuple, les travailleurs.

Pour nous le sujet principal de la lutte pour la libération a être et sera les travailleurs : le petit peuple a fin de compte. Et aujourd’hui l’imposition administrative que notre pays souffre fait encore plus necessaire de continuer notre lutte. Dès nos jours, les structures institutionales traditionalistes montrent la vrai nature de la démocracie répresentative ; quelques gagnent et la majorité souffre. Au début du XXI siéclè il est de plus en plus clair que le mythe de la démocracie est tombé, la expansion continuée des structures globalisées, la privatitation des structures essentielles strategiques (l‘éducation, la santé...), la libération économique a fin de compte, les structures d’état traditionales, sont devenus un instrument du pouvoir économique. Et face à cela, le peuple n’est pas qu’un simple spectateur, il n’a pas de pouvouir de decission, il est limité a choisir entre pepsi ou coca cola, mais il n’est peut pas boire de l’eau, et l’eau est indispensable pourque le peuple puisse survivre, l’eau des peuples, c’est la possesion de son futur, la souveraineté économique et politique, la libération nationale et sociale.


Mais on ne doit comprendre cette lutte comme une alternative particulaire, et ce n’est pas une chose que nous disons. On va voir les differents apportations autour cettes idées ; on va commencer avec le texte de Lenin « Sur le droit d’autodetermination des nations » et on va continuer avec « Le manifest nationaliste » du philosophe français de la science U. Moulines. Dans ces textes on peut voir que plusieurs penseurs savent que l’alternative locale, les mouvements de libération sectorualle, peut aider positivement dans les processus de libération des autres pays d’Europe et du monde. Mais on a choisi deux auteurs de l’histore de la gauche au XX siéclè. Le premier V.I. Lenin et son texte « Le droit d’autodetermination des nations ». Celles sont ses paroles :

“Cet état des choses pose au proletariat de Rusie un double travail, ou plus exactement, bilatéral : lutter contre tous les nacionalismes et, au premier plan, contre le nacionalisme russe (comme représentant des nacionalismes hégémoniques ou imperialistes)* ; reconnaître ne seulement la complète égalité des droits de toutes les nations en général, mais aussi les droits d’égalité en ce qui concerne àl’édification de l’État, c’est à dire, le droits des nations à l’autodétermination, à la separation ; et, au même temps et justement en intêret de succes dans la lutte contre tous les nationalismes de tous les nations, soutenir l’unité de la lutte du prolétariat et des organisations du prolétariat, sa fusion plus intime dans une communauté internationale, en dépit des tendences bourgeoises d’isolement national ».

* note ajoutée au texte original.

LENIN, V.I., “Le droit d’autodetermination des nations”

Et le seconde texte est ce de JP Sartre. À ce siéclè on l’a appellé le siéclè de Sartre, et on va utiliser ses paroles pour expliquer c’est que les processus de libération des nations apportent au contexte européen et mondiale. Ces paroles sont de Giselle Halimir, son secretaire et une des fondatrices du mouvement de gauche ATTAC et on les peut trouver dans le prologue du livre « le processus de Burgos » :




“ Le mouvement de libération basque nous révéle le besoin que tous les hommes, même les plus centralistes, de réaffirmer les particularités contre la universalité abstracte : écouter la voix des basques, des bretons, des occitains et lutter avec ils pourque ils puissent affirmer leur singularité est, par consèquence directe, lutter aussi, nous, les français, pour la vraie indépendance de la France, qui est la première victime de son centralisme ».
SARTRE, J.P. Prologue du livre “Le procès de Burgos” de Giselle Halimi




Celle-ci est la perpective pragmatique de Lenin en 1914 pour répondre aux problèmes que dans cette époque il y avait à l’Union Sobietique. Et 50 ans après, comme un apport positive, la lecture de Sartre, qui dit qu’il n’y a pas une contradiction entre le mouvement de libération d’un pays et le processus d’émancipation des travailleurs. Et encore plus, on pense que le deux sont des chemins complémentaires, la même face de la monnaie, deux directions de la même lutte.




La définition de Segi

Celle-ci est la lecture que Segi fait de la situation et par conséquent, la définition de ses principes, des alternatives, de la lutte et de ces lignes de travail. Segi veut donner à la jeunesse basque une alternative révolutionnaire, un space pour faire face aux conditions de vie qu’on souffre tous les jours, pour offrir une alternative integrale á la jeunesse basque pour dessiner son futur, pour s’unir à la lutte pour nos droits. Dans les racines de notre travail on a la convinction que la jeunesse est le moteur dans la lutte de libération nationale, dans ce chemin nous sommes des acteurs, nous sommes les protagonistes et on proclame notre space dans la défence des droits de notre pays et pour prendre part à la construction nationale du Pays Basque. Segi, a fin de compte, est le lieu commun crée par des personnes libres pour lutter pour un pays libre, pour les jeunes qui se joindrent pour lutter pour un Pays Basque libre et socialiste.

Par conséquent, à l’heure de definir Segi on dirait :

Segi est un mouvement de la jeunesse basque, c’est à dire, la jeunesse est compris comme un secteur social. La jeunesse a ses propres problèmes, son ritme propre de faire les lectures et elle a aussi des problèmes. Alors, Segi n’est pas une organisation juvénile parce qu’elle est integrée par des jeunes, mais parce que elle répond aux problèmes que a le secteur de la jeunesse.

Segi un mouvement de tout le Pays Basque. En elle-même il y a la montagne et la ville, la cote et l’intérieur, le nord et le sud. Dans notre mouvement on n’accept pas les frontières imposées. Nous sommes un pays, et on fonctionne comme un seul pays.

Segi est indépendantiste, pour la survivance de notre pays, pour construire une alternative socialiste, c’est indispensable gagner la souveranaité, être les maîtres de notre futur et parce que l’indépendance est un outil indispensable pour cela.

Segi est révoloutionnaire, parce que c’est notre travail, ce de trouver les frontières que le système nos a imposé et les retourner, découvrir les contradictions de ce modèle et les changer completement.

Segi est feministe. La situation qu’on vit aujourd’hui frappe specifiquement aux femmes, et encore plus si elle est jeune ; on ne croit pas que la persécution des femmes soit un problème périphérique parce que le modèle néoliberal a dans ses racines le modèle patriarcale et c’est pour cela que notre objectif est ce de retourner le système néoliberal oú on trouve un domaine strategique.

Segi est internationaliste, parce que on sait que sans les rélations basées dans la liberté, l’égalité et la solidarité entre les autres pays du monde on ne peut être libres. Dans le contexte néoriberal du monde, on voit plus clair que les rélations entre les pays piétinés est indispensable et dans ce chemin Segi va lutter pour connaître les pays opprimés et pour les offrir son soutien, pourque la lutte pour la libérte de notre pays soit enrichissante pour les autres, de la même façon que la lutte des autres est enrichissant pour nous.

Segi travaille pour le basque, parce que c’est la base de notre identité, parce que notre langue est notre seule nation libre, parce qu’ellle est la façon de contacter avec la realité, c’est l’outil indispensable pour comprendre et organiser notre réalité. Parce que notre indentité, valoirs, croires et culture sont basée dans le basque.

Segi est diverse, parque en elle il y a des jeunes avec des intêrets et motivations très differents, mais tous travaillent pour Euskal Herria.

Plus qu’une organisation, un mouvement, parque en elle toutes les apportations sont bienvenues, et le different dégrès d’engagement sont valables.



Segi dans le contexte international

Après d’avoir décrire l’alternative politique de Segi et son fonctionnaiment, on basse le travail à niveau international en une notion basique. Le Pays Basque n’est pas une île à part du monde, notre petit pays est situé au centre du monde, et tout c’est qui passe nous affecte dans notre vie de toujours, même sans nous rendons compte. « Le effet papillon » peut expeser la chaîne chaotique casual, « Quand en Japon une papillon battre des ailes le vent qui produce peut créer un tsunami dans la côte pacifique des États Units d’Amerique ».Et ça n’est pas très erroné. Parce que aujourd’hui on sait que si une entreprise en Allemagne a un grand echec économique, les travailles des milliards de travailleurs en Navarre sont en danger. Le papillon battre des ailes en Allemagne et on a un tsumani en Iruñea.

C’est pour cela que quand on va anlyser la situation, même si elle très loin, tout près de nous des choses passent. Connaître c’est le travail que Segi faire prèmierèment. Et le panorama n’est pas très encourageant.


Aujourd’hui il y a 5000-7000 peuple autour le monde et 4000 d’eux sont des peuples indigènes, situés surtout en Afrique et Asie (le 3% n’est qu’en Europe). Néanmoins, les états ne sont plus que 200 et une douzaine seulement a le contrôle politique de son pays. Ces pays sont situés dans l’appellé premier monde impliqués dans la gestion et création des organisations internationaux, et on a denigreé leurs objectifs ( finir brusquement avec la seconde guerre mondiale, réguler le pontential de l’énergie nucleaire...).

Dans ce moment le rôle les institutions internationaux est dans une crise très profonde. Les états puissantes n’acceptent pas les décisions de cettes institutions, comme en Palestine… Souvent, sourtut les grands puissances, ne rèspetent pas le critère de ne prend pas partie dans les problèmes internes d’un pays, l’exemple le plus paradigmatique, celle d’Irak, occuppé militairement.


Ceux que gérent le pouvoir politique ont de plus en plus moins de force et au contraire, les institutions économiques accumulent plus de pouvoir en eux. Les puissances reuniées dans le OMC, le CCE et surtout dans le G8 ont crée une structure parallèle pour gouverner le monde. Ils prenent de décissions efficaces gérées politiquement. Cela, pour le présenter d’une manière graphique, nous amene à cettes situations.

Si on extrapole les données mondiales à un groupe de 100 personnes 52 seraient des femmes et elles feraient les 2/3 du travail. 30 personnes seraient de peau blanche et ils auraient la plupart de la richesse. Le 59% de la richesse mondiale serait sous le contrôle de six personnes uniquement et les six seraient des États Units. 60 personnes seraient agriculteurs, 80 vivraient sous le seuil de pauvreté, 50 seraient sous-alimentés, seulement une aurait un ordinateur, des études superieurs un autre et 70 personnes seraient analphabètes.

Ici on trouve le travail qu’on doit faire dans le plan internationaliste. Une fois qu’on a connu la réalité des pays du monde on doit construire un pont de solidarité avec eux, on doit commencer à practiquer l’union. Et avec responsabilité, parce que si bien notre pays est piétiné, nous sommes dans la part oppresseur du monde.

Le monde est dividé en deux parties. La première, l’occidentale, la societé du consume ou rien n’est pas produit et oú se consume seulement selon la loi d’offre et de demand. La seconde, une grande usine qui serve pour nourrir à l’autre coté du monde. Ici habitent les esclaves de nos jours, dans des conditions de vie déplorables et avec aucun droit sur c’est qu’ils produient, ils ne travailent que pour étancher nos bésoins. Cela c’est le modèle que le systeme neolibéral capitaliste nous montre en nom de la democracie et la liberté avec toute leur force : bolkenstein, bologne... et ils étendent et deffendent ce modèle durement. Les responsables sont les mêmes et on doit les faire face tous ensemble, on doit nous connaître pour travailler en solidarité, et de la solidarité on passera à practiquer la solidarité internationaliste



En ce contexte, les problèmes pour eux sont chaque fois plus . La naissance de nouvelles puissances (la Chine, le Japon etc) sont en train de déstabiliser le pouvoir unipolaire que les États Units a (le moteur du système neocapitaliste) : Avec l’aide de la Bolivie, la Venezuela, Cuba etc des alternatives réelles face à cette modele sont jaillis en Amèrique Latine. Les États Units n’ont pas encore tout le contôle sous la grande maraîchère qui est pour eux l’Amèrique Latine. D’un autre coté les échecs dans les tentatives de contrôler la situation en Irak et Palestine non seulement ont abîmé son image international mais aussi son contrôle sur les matières premières est réduit notament. La fatigue de la societé du premier monde est articulé dans le mouvement de l’antiglobalisation.

En fin de compte, la propagation mondiale du modèle homogène a ressurgi les alternatives locales. Le problème de souveraineté économique et politique est le premier sujet dans le contexte international comme en Palestine ou Amèrique Latine. Dans le contexte europèen, comme les états sont sous les systèmes néoliberales, le débat se centre surtout au nations sans état.


C’est pour cela que à l’heure de comprendre la lutte que notre pays a dérouler pour la libération social et national, et si le voi dans le contexte qu’on a expliqué, on le voi trés clair, que notre lutte est aussi dans la grande vague antimperaliste qui est articulé au niveau mondial. Ce-ci est notre champ de lutte, commencer a lutter dans notre pays pour impulser la lutte mondiale, libérant notre pays on donne un pas très important pour la libération des pays du monde. Dans ce chemin, on doit nous joindre, réunant les forces des jeunes qui luttent por l’indépendance. Notre camarades sons tous les autres pays du monde et avec eux on va lutter pour obtenir un autre modèle.

Eh bien, une accolade révoloutonnaire de l’organisation juvenile Segi

En Gasteiz, Pays Basque, le 24 septembre 2006

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