L'Italia è all'ultimo posto tra i paesi dell'Unione Europea nella classifica della libertà di stampa, pubblicata dall'associazione internazionale Reporters Sans Frontières
La Fondazione Di Vittorio segnala (http://www.fondazionedivittorio.it/news_view.php?id=910) che "L'Italia è all'ultimo posto tra i paesi dell'Unione Europea nella classifica della libertà di stampa, pubblicata (http://www.rsf.org/article.php3?id_article=8240) per il secondo anno consecutivo dall'associazione internazionale Reporters Sans Frontières.
Le nazioni prese in considerazione sono 166: meglio dell'Italia fanno -tra gli altri paesi- la Bulgaria e la Bosnia".
All'ultimo posto della classifica la Corea del Nord, penultima Cuba.
In discesa Israele e Stati Uniti per il comportamento avuto dalle autorità di questi paesi nei confronti dei giornalisti, nei territori palestinesi ed in Iraq.
Per quanto riguarda l'Italia pesa l'irrisolto conflitto di interessi di Silvio Berlusconi. In più, sottolinea il rapporto, la situazione rischia di aggravarsi se venisse approvata la legge Gasparri che "sembra cucita su misura per fare gli interessi del premier".
Il rapporto (http://www.rsf.org/article.php3?id_article=8240) Deuxième classement mondial de la liberté de la presse di Reporters sans frontières in cui, tra le altre cose, si legge:
L'Union européenne bien classée, sauf l'Italie et l'Espagne
Pour la deuxième année consécutive, l'Italie est mal classée (53e) par rapport aux autres pays de l'Union européenne (UE). Le conflit d'intérêts de Silvio Berlusconi, à la fois chef de l'exécutif et propriétaire d'un empire médiatique, n'est toujours pas résolu. De plus, un projet de loi sur la réforme du système audiovisuel, taillé sur mesure pour les intérêts de Silvio Berlusconi, risque d'aggraver les menaces pesant sur le pluralisme de l'information dans ce pays.
Le mauvais classement relatif de l'Espagne (42e) est imputable aux difficultés rencontrées par les journalistes au Pays basque. L'organisation terroriste ETA a multiplié les menaces envers les médias, promettant de s'attaquer aux journalistes ne couvrant pas la situation d'une manière conforme à ses propres vues.<br><br> Par ailleurs, la lutte nécessaire contre le terrorisme a eu des conséquences sur la liberté de la presse, avec la fermeture par "mesure préventive" du journal basque Egunkaria, dont les dirigeants sont soupçonnés de collaboration avec l'ETA.
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La France n'occupe que la 26e position, en raison de sa législation archaïque sur la diffamation, des remises en cause toujours plus fréquentes du principe de la protection des sources et d'interpellations abusives répétées de journalistes par la police.
Tratto da http://www.crocevia.net
