Genova: école Diaz
En inventant une grêle de pierre inexistante et sous le prétexte d'un poignard également inventé, ils ont justifié le massacre de 61 personnes, après leur avoir fendu les rates, les têtes et les os, sans pitié. Ils ont manipulé les preuves, comme le cocktail Molotov, afin d'arrêter 93 innocents. Ce que pendant une année et demi a été dénoncé par un grand nombre de témoins est maintenant confirmé par des preuves officielles.
D'après les procès verbaux rendus publiques par le magistrat, les policiers impliqués dans le massacre et interrogés, admettent naïvement, en parlant au
sujet des légèretés, forcements, excès et erreurs, en se "renvoyant la balle" pour ramener toutes les responsabilités à l'equipe mobile de Vincenzo Cantarini, alors que sur l'arrière plan on peut apercevoir, rampante, l'ombre de Valerio Donnini, super-chef de la « Celere » et du group spécial d'anti-émeute.
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