|
Vedi tutti gli articoli senza commenti
|
fa-sci-sti, fa-sci-sti, fa-sci-sti, fa-sci-sti!
|
|
by
SFASCIO COPY ARTS Sunday, Nov. 10, 2002 at 11:26 PM |
mail:
|
fa-sci-sti, fa-sci-sti, fa-sci-sti, fa-sci-sti!
fn_swampthing.gifav7bdg.gif, image/gif, 800x600
fa-sci-sti, fa-sci-sti, fa-sci-sti, fa-sci-sti!
|
|
versione
stampabile | invia ad un amico
| aggiungi un
commento | apri un dibattito
sul forum |
|
|
dear Uliano, this is pop art
|
|
by
hebert guglielmi Monday, Nov. 11, 2002 at 9:44 AM |
mail:
|
caro Uliano se devi scrivere che questa è una stronzata sei tu che perdi tempo!!
pensa che su un testo grafico come questo si potrebbero spendere centinaia di parole solo sull'aspetto estetico (semiotica) , se poi ci aggiungiamo l'elemento di attualità storica-politica ecco che un paraculo te lo piazza in una recensione di FLASH ART è tutto molto precario e relativo e cmq assecondo e stimo sempre la comunicazione non prettamente verbale
in fieri Hebert Guglielmi Poeta real-core della merda
|
|
versione
stampabile | invia ad un amico
| aggiungi un
commento | apri un dibattito
sul forum |
|
|
QUELLO CHE IN FRANCIA SI DICE SU:GLADIO FINI P2 DESTRA NAZIONALE CIA AUGUSTO PINOCHET
|
|
by
Enrico Porsia Monday, Nov. 11, 2002 at 10:39 AM |
mail:
|
mafie.jpg, image/jpeg, 725x799
ARTICOLO IN FRANCESE:leggerlo é piú importante di quello che si puó credere:perche dobbiamo uscire dal Patto Atlantico prima che sia tardi:massoneria P2 Vaticano DC che cosa hanno in comune?Enquête Gladio/Stay behind/P2:une nouvelle milice parallèle se structure Cet article a été publié le 7 novembre 2001 dans le n°6 des Enquêtes interdites. Découvrez tous nos articles exclusifs en vous abonnant. http://www.amnistia.net/librairi/amnistia/ashisto.htm
"Préparons-nous à nous battre à côté des Etats-Unis d'Amérique dans ce qui probablement, certainement même, sera la troisième guerre mondiale. La civilisation contre la barbarie: comme les anciennes légions romaines qui firent un désert et l'appelèrent paix. C'est le seul moyen dont nous disposons pour sauver notre culture, notre liberté, nos familles". Après les attentats du 11 septembre, cette annonce s'affichait sur le site Web d'un parti italien bien singulier, "Destra Nazionale". La droite nationale. "Dans les prochains mois, l'Italie pourrait être frappée par des attaques d'une violence inimaginable de la part des pays islamiques du bassin méditerranéen. Notre nation pourrait être détruite, avant même que les forces alliées puissent intervenir en aide aux Forces armées présentes sur notre territoire. 1.500.000 Islamiques sont déjà présents sur notre sol. Combien d'entre eux nous attaqueront-ils? Les Forces armées et la Police suffiront-elles à nous protéger? NON. Notre défense, doit venir de nous-mêmes avec les "Reparti di Protezione Nazionale" (Détachements de Protection Nationale). En cas de grave danger, ils seront un support valide aux Forces armées. Viens combattre avec nous, deviens une Chemise grise!" Immédiatement un lien hypertexte aiguille l'internaute vers la page de propagande de cette nouvelle milice. Les Détachements de Protection Nationale, les Chemises grises. Cette organisation dispose d'un statut régulier. Rien de plus légal. On peut y lire "Les Détachements de Protection Nationale sont une organisation volontaire de libres citoyens qui avec leur engagement veulent exalter les valeurs jamais éteintes qui, depuis toujours, sont présentes dans le coeur de chaque Italien: Dieu, Famille, Patrie". Malgré le fait que cette libre association de citoyens dispose d'uniformes militaires, il est bien spécifié dans son règlement que "Les Détachements de Protection Nationale excluent armes et violence ainsi que tout autre comportement reconductible à des organisations militaires ou paramilitaires..." Cette déclaration d'intentions, ô combien angélique, n'empêche pourtant pas de mettre en évidence, sur la "home-page" du parti, un lien hypertexte qui vous envoie directement sur la page Web d'un véritable supermarché militaire domicilié aux Etats-Unis. Ici, à côté d'un bandeau publicitaire de Smith & Wesson vous pouvez, au moyen de votre carte bancaire préférée, faire vos emplettes. Visa, Mastercard et American Express sont les bienvenues... vous êtes en Amérique, pays de liberté!
Les Etats-Unis exercent une fascination bien particulière chez les dirigeants de "Destra Nazionale"... qui ont même importé, à quelques détails près, le logo officiel de la CIA pour en faire le symbole de leur parti. Telle une marque d'usine. Et pour cause... Le "Chef" de "Destra Nazionale" n'est autre que Gaetano Saya. Un homme qui a fait carrière dans le réseau occulte de l'OTAN, Gladio/Stay behind. Le leader de "Destra Nazionale", a aussi longtemps adhéré au Mouvement Social Italien - Droite Nationale, (créé après la guerre par l'ancien milicien fasciste Giorgio Almirante) dont Gianfranco Fini, l'actuel allié de Berlusconi, à été le secrétaire national. Or, Saya a très mal vécu le fait que le 27 janvier 1995, le parti des fascistes italiens change de nom pour s'appeler "Alleanza Nazionale". Pour Saya, il s'agit bien d'une trahison. "Fini a vendu le drapeau du social-fascisme et du corporatisme pour devenir un courant, même pas le plus radical, de Berlusconi", proclame fièrement ce fasciste de souche. A partir de cette date, Saya réunit autour de lui un petit noyau de gardiens du temple mussolinien qui se revendiquent comme les seuls héritiers légitimes "des idéaux que le monde entier nous a enviés: l'Histoire nous donnera raison". Le mouvement Destra Nazionale est né. Le 12 juillet 2000, il se structure en parti. Gaetano Saya, qui se définit comme "le chef absolu", aime raconter sa vie en soulignant "qu'il a été élevé par son grand-père Matteo Francesco, qui lui avait inculqué l'amour pour la patrie et pour le Duce". Gaetano Saya se décrit lui-même comme un fasciste... par filiation.
Né en 1956, Saya s'enrôle d'abord, en 1974, dans la police, mais très vite il découvre sa véritable vocation. Le renseignement. C'est ainsi qu'il rejoint la structure occulte des services secrets de l'OTAN, Gladio. En 1975, il est initié par le général Santovito, chef du SISMI, le service secret militaire italien, et membre de la loge P2, dans une loge réservée, "Divulgation 1". Cette loge, encore plus secrète que la P2, a un caractère international et est partie intégrante du dispositif souterrain de l'OTAN. Par l'intermédiaire du général Santovito, qui avait participé à la tentative de coup d'Etat mise au point en 1974 par les services américains sur la Péninsule, Saya était en contact avec le "vénérable" grand maître de la loge P2 Licio Gelli. Les rapports entre ces deux personnages se sont poursuivis au fil du temps. Dans une lettre de 1991, Licio Gelli disait son estime et sa sympathie à Gaetano Saya en lui offrant une lumineuse définition de la vérité: "La vérité a un seul visage, celui de l'honnêteté vers les autres et envers soi même..." Entre "hommes d'honneurs" cela va sans dire...En 1997, Gaetano Saya est convoqué en qualité de témoin au procès intenté, à Palerme, contre l'ancien président du Conseil italien Giulio Andreotti, accusé de participation à association mafieuse. Devant les juges, Saya déclare que Giulio Andreotti est le commanditaire de l'assassinat du général Carlo Alberto Dalla Chiesa, lui aussi un ancien de le P2, qui fut tué peu après sa nomination comme préfet de Palerme en 1982. A cette occasion, Saya a déclaré publiquement devant les juges qu'il était un ancien agent secret de l'OTAN et qu'il avait entretenu des rapports très étroits avec des réseaux maçonniques américains ainsi qu'avec Licio Gelli. A l'appui de ses dires, il n'a pas hésité à exhiber devant la cour sa correspondance avec le vénérable maître de le P2. Concernant le rôle d'Andreotti comme commanditaire de l'assassinat du général dalla Chiesa, Saya a affirmé qu'il devait cette information au général Santovito. "C'était le 16 juin 1982" a raconté Saya aux juges. Il s'en souvenait parfaitement, car ce jour à Palerme avait eu lieu un règlement de comptes. Un clan mafieux avait assassiné Alfio Ferlito, chef d'un clan rival, criblé de balles pendant son transfert d'une prison à une autre. Les tueurs n'avaient pas hésité à abattre également les trois carabiniers qui escortaient Ferlito. Le général Dalla Chiesa s'était rendu immédiatement sur les lieux du drame. Saya se souvenait que ce jour-là, il était en train de demander au général Santovito de l'appuyer afin qu'il puisse réintégrer les rangs de la police italienne. Santovito lui répondit que l'affaire était très compliquée, vue son implication dans l'affaire de la loge P2. Saya lui rétorqua que Dalla Chiesa, qui avait lui aussi fait partie de la loge de Licio Gelli, venait d'être promu préfet. Face a cette "injustice" manifeste, le général Santovito lui aurait alors révélé que les jours de Dalla Chiesa étaient comptés: c'était Giulio Andreotti, selon ses dires, qui souhaitait sa mort. Au moment de cette déposition fracassante, le général Santovito était malheureusement décédé depuis une dizaine d'années. Et, comme le fit remarquer le fils du préfet Dalla Chiesa: "Il y a une stratégie qui semble vouloir frapper Andreotti en faisant parler les morts, mais, à la fin de cette histoire, Andreotti démontrera que toutes ces accusations n'ont aucun fondement et, ainsi il arrivera à s'en sortir". Tel sera bien le cas. À la fin d'un procès interminable, Andreotti fut acquitté. Lors de son audition, Saya fut aussi interrogé par l'avocate de la défense, Giulia Bongiorno. Elle insista afin de connaître la structure de l'OTAN pour laquelle Saya avait travaillé si assidûment. L'acharnement de l'avocate se heurta à l'inlassable réponse du témoin: "Je ne peux pas vous répondre, c'est un secret OTAN". Et, quand l'avocate d'Andreotti lui demanda pour quelle raison il ne s'était pas manifesté plus tôt, tout au moins après l'assassinat de Dalla Chiesa, Saya répondit, tranquillement: "Je ne l'ai pas fait". Et il quitta tout aussi tranquillement le tribunal à la suite de son témoignage.
Aujourd'hui, le parti de ce monsieur affirme publiquement que "les Forces armées italiennes, ainsi que les forces de police sont littéralement abandonnées par ces politiciens qui ne se préoccupent pas de ceux qui défendent, avec les armes, la Patrie". Il souligne ensuite que "la Droite Nationale en concertation avec des représentants des Forces armées et de la police nationale a élaboré un programme qui servira de base pour la suite de l'activité politique en faveur des Forces armées de l'Etat". "Destra Nazionale" se propose ainsi de devenir le porte-parole des forces armées et des fonctionnaires de police. Il faut souligner que les structures répressives sont pour eux une source d'inspiration irremplaçable. Tel un héros, la photo de Pinochet est fièrement affichée sur leur site Internet avec cette mention: "Vous êtes des communistes, vous voulez détruire les fondements de la société, les valeurs fondamentales de notre civilisation chrétienne, l'existence même du monde libre. Vous êtes des ennemis qui doivent être combattus avec tous les moyens. Vous êtes le mal. Pinochet est le remède". Le responsable de la coordination du parti "Destra Nazionale" (qui dispose de 20 bureaux dans la Péninsule) s'appelle Giuseppe Scarano. C'est un fonctionnaire de police actuellement en poste à la préfecture de Milan.
Avec de tels défenseurs de la civilisation chrétienne, l'Oncle Sam trouvera sûrement les croisés dont il rêve dès que l'opportunité se fera sentir.
Tout ceci se passe aujourd'hui, en Europe. "Destra Nazionale" est un parti légal dans une République italienne où, constitutionnellement, toute reconstitution du parti fasciste est interdite. Pour l'instant. Vedere anche ai seguenti siti:
http://nyc.indymedia.org/front.php3?article_id=35205&group=webcast
http://nycap.indymedia.org/front.php3?article_id=3512&group=webcast
http://italy.indymedia.org/news/2002/10/94541.php
http://italy.indymedia.org/news/2002/10/94920.php
http://italy.indymedia.org/news/2002/10/94559.php
http://italy.indymedia.org/news/2002/10/94586.php
http://italy.indymedia.org/news/2002/10/94576.php
http://italy.indymedia.org/news/2002/10/94790_comment.php#94805
http://italy.indymedia.org/news/2002/10/94920.php
http://italy.indymedia.org/news/2002/10/94559.php
http://italy.indymedia.org/news/2002/10/95296.php
http://italy.indymedia.org/news/2002/10/94920_comment.php#95301
http://WWW.italy.indymedia.org/news/2002/10/94920_comment.php#95301
http://cosco-giuseppe.tripod.com/
http://www.disinformazione.it/
http://www.censurati.it
italy.indymedia.org/news/2002/10/94541.php
|
|
versione
stampabile | invia ad un amico
| aggiungi un
commento | apri un dibattito
sul forum |
|
|
DESTRA NAZIONALE
|
|
by
Marco Sunday, Dec. 01, 2002 at 2:49 PM |
mail:
|
Io reputo il partito DESTRA NAZIONALE serio e non impicciato in tanti casini masonici come voi volete far credere. Io sono un iscritto del partito e francamente non ho visto massoni all'interno (a parte Saya che lo fu ed è cosa pubblica) del medesimo partito. Non mi sembra per giunta un partito di fascisti..anzi! Prendetevela semmai con i forzanovisti (sempre in lite con destra nazionale) o gli estremisti (ce ne sono tanti) di A.N. prima di parlare o scrivere idiozie contro un rispettabile partito che mai ha fatto male a nessuno! Saluti
|
|
versione
stampabile | invia ad un amico
| aggiungi un
commento | apri un dibattito
sul forum |
|
|
ne ai visti allora ...
|
|
by
pasolini Wednesday, Dec. 04, 2002 at 12:31 PM |
mail:
|
...dilla tutta! Ne hai visti di maSSoni all'interno del partito DESTRA NAZIONALE ma ...appartenevano ad altri partiti,correnti e movimenti come Ciriaco de mita, cirillo pomicino de mita berlusconi craxi eccc licio gelli che ha scritto lettere a tutti ............. ha ha ha fai ridere iniziato del CAZZO!
|
|
versione
stampabile | invia ad un amico
| aggiungi un
commento | apri un dibattito
sul forum |
|
|
...mai fatto male a nessuno...?
|
|
by
camillo Wednesday, Dec. 04, 2002 at 5:53 PM |
mail:
|
niente male, un fascista che si fa passare per mammola! pure quel coniglio del tuo duce, si starà rivoltando nel suo tombino! bene, il fascismo dal volto umano. come dovete stare male, per essere ridotti ad accettare questa parte da unter-conigli. destra nazionale, dici. bell'orgoglio del capomanipolo vostro. come si dice a napoli: i chè figura 'è mmerda!!
|
|
versione
stampabile | invia ad un amico
| aggiungi un
commento | apri un dibattito
sul forum |
|
|
x Marco il fascista massonico sinarchico sionista
|
|
by
gramsci vive Thursday, Dec. 05, 2002 at 3:12 PM |
mail:
|
Gladio,maS.S.oneriaP2,Destra Nazionale,Ior ed altra merda ancora ... ... e scusate se sono rimasto pure corto !
P2 (Loggia Propaganda Due)
- Che cos'è - Lo statuto - Elenco degli iscritti - Le vicende in cui è implicata
Che cos'è La data di fondazione della loggia massonica Propaganda Due si perde nel tempo, come spesso accade per simili consorterie. E' noto, comunque, che era un antico sodalizio che accoglieva gli elementi più importanti e prestigiosi, fin da quando, nel secolo scorso, la massoneria, aveva avuto un ruolo centrale nelle vicende italiane. Dopo la seconda guerra mondiale era stata riorganizzata anche la loggia P2, con l'aiuto della massoneria USA, trasferendovi i massoni più in vista o che dovevano restare "coperti". Nel Dicembre 1965 il Gran Maestro aggiunto Roberto Ascarelli presenta l'apprendista Licio Gelli al Gran Maestro Gamberini, il quale lo eleva immediatamente di grado nella gerarchia massonica e lo inserisce nella loggia P2. Nel 1969 Ascarelli e Gamberini affidano a Gelli un non meglio precisato incarico speciale nella loggia. Nel 1971 Gelli diviene segretario organizzativo e ha il totale controllo della loggia. Nel frattempo molti personaggi eccellenti, soprattutto militari e finanzieri si sono iscritti, tra questi il generale Allavena che porterà in dote le copie dei fascicoli delle schedature del SIFAR. Nel '69 capi massonici diranno che grazie a Gelli 400 alti ufficiali dell'esercito sono stati iniziati alla massoneria al fine di predisporre un "governo di colonnelli", sempre preferibile ad un governo comunista. Nel 1972 il nuovo segretario organizzativo cambia nome alla loggia in "Raggruppamento Gelli-P2" accentuandone le caratteristiche di segretezza evitando qualsiasi tipo di controllo. Nel 1973 la loggia segreta "Giustizia e Libertà" si fonde con la P2. Alla Gran Loggia di Napoli del Dicembre 1974, qualcosa di simile a un conclave massonico alcuni tentarono di sciogliere la P2 e di abrogarne i regolamenti particolari, ma senza successo, Gelli aveva acquisito troppo potere nel frattempo. Lino Salvini, maestro del Grande Oriente d'Italia, quindi, nonostante non vedesse di buon occhio tanto potere concentrato in quella loggia, il 12 Maggio 1975 decretò ufficialmente la ricostituzione della loggia P2 elevando Gelli al grado di maestro venerabile. La loggia P2 valicherà presto i confini nazionali e conterà affiliati in diversi paesi dove non si limiterà a fare proselitismo, ma parteciperà, nei modi che la caratterizzano alla vita politica, economica e finanziaria di tali paesi. In Argentina, per esempio favorirà il golpe militare, per poi perorare la causa del ritorno di Peron, così come risulterà implicata nello scoppio del conflitto delle isole Malvinas. La loggia P2 risulterà attiva in Uruguay, Brasile, Venezuela, negli Stati Uniti, in diversi paesi europei e non ultima in Romania, dove Gelli avrà importanti rapporti con il regime "socialista" di Ceausescu, nonostante l'anticomunismo viscerale di tutti gli aderenti alla P2. Evidentemente a Ceausescu non era rimasto niente di comunista e Gelli lo sapeva. Analizzare gli intrighi, la partecipazione a tentativi di colpo di stato o a colpi di stato riusciti, a stragi, attentati, omicidi, depistamenti, operazioni finanziarie sporche e' praticamente impossibile. Basti pensare che dopo il ritrovamento di una parte dei documenti relativi alle attività della loggia ad Arezzo il 17 Marzo 1981 e di altri a Montevideo in Uruguay e' stata costituita una commissione parlamentare di inchiesta presieduta da Tina Anselmi, i cui atti sono raccolti in 76 volumi di dimensioni consistenti e che la documentazione raccolta occupa diverse scaffalature anch'esse di dimensioni consistenti. Semplicemente ci limiteremo a dare un parziale elenco delle vicende in cui la P2 e' implicata. Anche l'elenco degli iscritti che forniamo e' parziale, purtroppo però è l'unico conosciuto, si calcola comunque che gli iscritti alla loggia fossero 2500/3000 e non 963 come risulta dalle liste sequestrate ad Arezzo.
Il 10 Dicembre 1981 il Parlamento ha ufficialmente sciolto la P2. Si tratta però solo di un atto formale, in realtà Gelli, nonostante i molti anni di carcere a cui e' stato condannato, e' ancora a piede libero e ha a disposizione un'enorme patrimonio per continuare a tessere i suoi intrighi. Il "piano di rinascita democratica" sequestrato a Maria Grazia Gelli nel Luglio 1982, che rappresenta la "carta programmatica per l'Italia" della P2, e' divenuto il programma di Silvio Berlusconi, in gran parte attuato. Ma ciò che più preoccupa e' che non può essere un semplice decreto a sciogliere un simile agglomerato di "veri criminali". Finché esisteranno enormi gruppi finanziari, potentati economici, multinazionali che dominano i popoli, continueranno ad esistere cosche mafiose e massoniche come la P2. Del resto, come anche attraverso questo lavoro abbiamo cercato di spiegare la P2 travalica i confini nazionali anche formalmente, Gelli nella Primavera del 1975 ha fondato a Montecarlo l'OMPAM che nessuno si sogna di sciogliere. L'unica cosa che ci rimane da fare e' combattere simili accozzaglie di moderni fascisti con ogni mezzo necessario.
Lo Statuto
PREMESSA 1) L' aggettivo democratico sta a significare che sono esclusi dal presente piano ogni movente od intenzione anche occulta di rovesciamento del sistema 2) il piano tende invece a rivitalizzare il sistema attraverso la sollecitazione di tutti gli istituti che la Costituzione prevede e disciplina, dagli organi dello Stato ai partiti politici, alla stampa, ai sindacati, ai cittadini elettori. 3) Il piano si articola in una sommaria indicazione di obiettivi, nella elaborazione di procedimenti - anche alternativi - di attuazione ed infine nell'elencazione di programmi a breve, medio e lungo termine. 4) Va anche rilevato, per chiarezza, che i programmi a medio e lungo termine prevedono alcuni ritocchi alla Costituzione successivi al restauro delle istituzioni fondamentali.
OBIETTIVI 1) Nell'ordine vanno indicati:
a) i partiti politici democratici, dal PSI al PRI, dal PSDI alla DC al PLI (con riserva di verificare la Destra Nazionale) b) la stampa, escludendo ogni operazione editoriale, che va sollecitata al livello di giornalisti attraverso una selezione che tocchi soprattutto: Corriere della Sera, Giorno, Giornale, Stampa, Resto del Carlino, Messaggero, Tempo, Roma, Mattino, Gazzetta del Mezzogiorno, Giornale di Sicilia, per i quotidiani; e per i periodici: Europeo, Espresso, Panorama, Epoca, Oggi, Gente, Famiglia Cristiana. La RAI-TV va dimenticata. c) i sindacati, sia confederali CISL e UIL, sia autonomi, nella ricerca di un punto di leva per ricondurli alla loro naturale funzione anche al prezzo di una scissione e successiva costituzione di una libera associazione dei lavoratori; d) il Governo, che va ristrutturato nella organizzazione ministeriale e nella qualità degli uomini da proporre ai singoli dicasteri; e) la magistratura, che deve essere ricondotta alla funzione di garante della corretta e scrupolosa applicazione delle leggi; f) il Parlamento, la cui efficienza e' subordinata al successo dell'operazione sui partiti politici, la stampa e i sindacati.
2) Partiti politici, stampa e sindacati costituiscono oggetto di sollecitazioni possibili sul piano della manovra di tipo economico finanziario. La disponibilità di cifre non superiori a 30 o 40 miliardi sembra sufficiente a permettere ad uomini di buona fede e ben selezionati di conquistare le posizioni chiave necessarie al loro controllo. Governo, Magistratura e Parlamento rappresentano invece obiettivi successivi, accessibili soltanto dopo il buon esito della prima operazione, anche se le due fasi sono necessariamente destinate a subire intersezioni e interferenze reciproche, come si vedrà in dettaglio in sede di elaborazione dei procedimenti.
3) Primario obiettivo e indispensabile presupposto dell'operazione e' la costituzione di un club (di natura rotariana per l'etereogenità dei componenti) ove siano rappresentati, ai migliori livelli, operatori, imprenditoriali e finanziari, esponenti delle professioni liberali, pubblici amministratori e magistrati, nonché pochissimi e selezionati uomini politici, che non superi il numero di 30 o 40 unità. Gli uomini che ne fanno parte debbono essere omogenei per modo di sentire, disinteresse, onestà e rigore morale, tali cioè da costituire un vero e proprio comitato di garanti rispetto ai politici che si assumeranno l'onere dell'attuazione del piano e nei confronti delle forze amiche nazionali e straniere che lo vorranno appoggiare. Importante e' stabilire subito un collegamento valido con la massoneria internazionale.
PROCEDIMENTI 1) Nei confronti del mondo politico occorre: a) selezionare gli uomini - anzitutto - ai quali può essere affidato il compito di promuovere la rivitalizzazione di ciascuna rispettiva parte politica (per il PSI, ad esempio, Mancini, Mariani e Craxi; per il PRI: Visentini e Bandiera; per il PSDI: Orlandi e Amidei; per la DC: Andreotti, Piccoli, Forlani, Gullotti e Bisaglia; per il PLI: Cottone e Quilleri; per la Destra Nazionale (eventualmente): Covelli); b) in secondo luogo valutare se le attuali formazioni politiche sono in grado di avere ancora la necessaria credibilità esterna per ridiventare validi strumenti di azione politica; c) in caso di risposta affermativa, affidare ai prescelti gli strumenti finanziari sufficienti -con i dovuti controlli- a permettere loro di acquisire il predominio nei rispettivi partiti; d) in caso di risposta negativa usare gli strumenti finanziari stessi per l'immediata nascita di due movimenti: l'uno, sulla sinistra (a cavallo fra PSI-PSDI-PRI-Liberali di sinistra e DC di sinistra), e l'altro sulla destra (a cavallo fra DC conservatori, liberali, e democratici della Destra Nazionale). Tali movimenti dovrebbero essere fondati da altrettanti clubs promotori composti da uomini politici ed esponenti della società civile in proporzione reciproca da 1 a 3 ove i primi rappresentino l'anello di congiunzione con le attuali parti ed i secondi quello di collegamento con il mondo reale. Tutti i promotori debbono essere inattaccabili per rigore morale, capacità, onestà e tendenzialmente disponibili per un'azione politica pragmatistica, con rinuncia alle consuete e fruste chiavi ideologiche. Altrimenti il rigetto da da parte della pubblica opinione e' da ritenere inevitabile.
2) Nei confronti della stampa (o, meglio, dei giornalisti) l'impiego degli strumenti finanziari non può, in questa fase, essere previsto nominativamente. Occorrerà redigere un elenco di almeno 2 o 3 elementi, per ciascun quotidiano o periodico in modo tale che nessuno sappia dell'altro. L'azione dovrà essere condotta a macchia d'olio, o, meglio, a catena, da non più di 3 o 4 elementi che conoscono l'ambiente. Ai giornalisti acquisti dovrà essere affidato il compito di "simpatizzare" per gli esponenti politici come sopra prescelti in entrambe le ipotesi alternative 1c e 1d. In un secondo tempo occorrerà: a) acquisire alcuni settimanali di battaglia; b) coordinare tutta la stampa provinciale e locale attraverso una agenzia centralizzata; c) coordinare molte TV via cavo con l'agenzia per la stampa locale; d) dissolvere la RAI-TV in nome della libertà di antenna ex art. 21 Costit.
3) Per quanto concerne i sindacati la scelta prioritaria e' fra la sollecitazione alla rottura, seguendo cioè le linee già esistenti dei gruppi minoritari della CISL e maggioritari dell'UIL, per poi agevolare la fusione con gli autonomi, acquisire con strumenti finanziari di pari entità i più disponibili fra gli attuali confederati allo scopo di rovesciare i rapporti di forza all'interno dell'attuale trimurti. Gli scopi reali da ottenere sono: a) restaurazione della libertà individuale, nelle fabbriche e aziende in genere per consentire l'elezione dei consigli di fabbrica, con effettive garanzie di segretezza del voto; b) ripristinare per tale via il ruolo effettivo del sindacato di collaboratore del fenomeno produttivo in luogo di quello legittimamente assente di interlocutore in vista di decisioni politiche aziendali e governative. Sotto tale profilo, la via della scissione e della successiva integrazione con gli autonomi sembra preferibile anche ai fini dell'incidenza positiva sulla pubblica opinione di un fenomeno clamoroso come la costituzione di un vero sindacato che agiti la bandiera della libertà di lavoro e della tutela economica dei lavoratori. Anche in termini di costo e' da prevedere un impiego di strumenti finanziari di entità inferiori all'altra ipotesi.
4) Governo Magistratura e Parlamento
a) selezionare gli uomini - anzitutto - ai quali può essere affidato il compito di promuovere la rivitalizzazione di ciascuna rispettiva parte politica (Per il PSI, ad esempio Mancini, Mariani e Craxi; per il PRI: Visentini e Bandiera; per il PSDI: Orlandi e Amidei; per la DC: Andreotti, Piccoli, Forlani, Gullotti e Bisaglia; per il PLI: Cottone e Quilleri; per la Destra Nazionale (eventualmente): Covelli); b) in secondo luogo valutare se le attuali formazioni politiche sono in grado di avere ancora la necessaria credibilità esterna per ridiventare validi strumenti di azione politica; c) in caso di risposta affermativa, affidare ai prescelti gli strumenti finanziari sufficienti - con i dovuti controlli - a permettere loro di acquisire il predominio nei rispettivi partiti; d) in caso di risposta negativa usare gli strumenti finanziari stessi per l'immediata nascita di due movimenti: l'uno, sulla sinistra (a cavallo fra PSI - PSDI - PRI - Liberali di sinistra e DC di sinistra), e l'altro sulla destra (a cavallo fra DC conservatori, liberali, e democratici della Destra Nazionale). Tali movimenti dovrebbero essere fondati da altrettanti clubs promotori composti da uomini politici ed esponenti della società civile in proporzione reciproca da 1 a 3 ove i primi rappresentino l'anello di congiunzione con le attuali parti ed i secondi quello di collegamento con il mondo reale. Tutti i promotori debbono essere inattaccabili per rigore morale, capacità, onestà, e tendenzialmente disponibili per un'azione politica pragmatica, con rinuncia alle consuete e fruste chiavi ideologiche. Altrimenti il rigetto da parte della pubblica opinione e' da ritenere inevitabile.
2) Nei confronti della stampa (o, meglio, dei giornalisti) l'impiego degli strumenti finanziari non può, in questa fase, essere previsto nominatim. Occorrerà redigere un elenco di almeno 2 o 3 elementi, per ciascun quotidiano o periodico in modo tale che nessuno sappia dell'altro. L'azione dovrà essere condotta a macchia d'olio, o, meglio, a catena, da non più di 3 o 4 elementi che conoscono l'ambiente. Ai giornalisti acquisiti dovrà essere affidato il compito di "simpatizzare" per gli esponenti politici come sopra prescelti in entrambe le ipotesi alternative 1c e 1d. In secondo tempo occorrerà: a) acquisire alcuni settimanali di battaglia; b) coordinare tutta la stampa provinciale e locale attraverso una agenzia centralizzata; c) coordinare molte TV via cavo con l'agenzia per la stampa locale; d) dissolvere la RAI-TV in nome della libertà di antenna ex art. 21 Costit.
3) Per quanto concerne i sindacati la scelta prioritaria è fra la sollecitazione alla rottura, seguendo cioè le linee già esistenti dei gruppi minoritari della CISL e maggioritari della UIL, per poi agevolare la fusione con gli autonomi, acquisire con strumenti finanziari di pari entità i più disponibili fra gli attuali confederati allo scopo di rovesciare i rapporti di forza all'interno dell'attuale trimorti. Gli scopi reali da ottenere sono: a) restaurazione della libertà individuale nelle fabbriche e aziende in genere per consentire l'elezione dei consigli di fabbrica con effettive garanzie di segretezza del voto; b) ripristinare per tale via il ruolo effettivo del sindacato di collaboratore del fenomeno produttivo in luogo di quella illegittimamente assente di interlocutore in vista di decisioni politiche aziendali e governative. Sotto tale profilo, la via della scissione e della successiva integrazione con gli autonomi sembra preferibile anche ai fini dell'incidenza positiva sulla pubblica opinione di un fenomeno clamoroso come la costituzione di un vero sindacato che agiti la bandiera della libertà di lavoro e della tutela economica dei lavoratori. Anche in termini di costo e' da prevedere un impiego di strumenti finanziari di entità inferiore all'altra ipotesi.
4) Governo, Magistratura e Parlamento
E' evidente che si tratta di obiettivi nei confronti dei quali i procedimenti divengono alternativi in varia misura a seconda delle circostanze. E' comunque intuitivo che, ove non si verifichi la favorevole circostanza di cui in prosieguo, i tempi brevi sono - salvo che per la Magistratura - da escludere essendo i procedimenti subordinati allo sviluppo di quelli relativi ai partiti, alla stampa e ai sindacati, con la riserva di una più rapida azione nei confronti del Parlamento ai cui componenti e' facile estendere lo stesso modus operandi già previsto per i partiti politici. Per la Magistratura e' da rilevare che esiste già una forza interna (la corrente di magistratura indipendente della Ass. Naz. Mag.) che raggruppa oltre il 40% dei magistrati italiani su posizioni moderate. E' sufficiente stabilire un accordo sul piano morale e programmatico ed elaborare una intesa diretta a concreti aiuti materiali per poter contare su un prezioso strumento, già operativo nell'interno del corpo anche al fine di taluni rapidi aggiustamenti legislativi che riconducano la giustizia alla sua tradizionale funzione di elementi di equilibrio della società e non già di eversione. Qualora invece le circostanze permettessero di contare sull'ascesa al Governo di un uomo politico (o di un'equipe) già in sintonia con lo spirito del club e con le sue idee "ripresa democratica", e' chiaro che i tempi dei procedimenti riceverebbero una forte accelerazione anche per la possibilità di attuare subito il programma di emergenza e quello a breve termine in modo contestuale all'attuazione dei procedimenti sopra descritti. In termini di tempo ciò significherebbe la possibilità di ridurre a 6 mesi e anche meno il tempo di intervento, qualora sussista il presupposto della disponibilità dei mezzi finanziari.
PROGRAMMI
Per programmi si intende la scelta, in scala di priorità, delle numerose operazioni in forma di: a) azioni di comportamento politico ed economico; b) atti amministrativi (di Governo); c) atti legislativi; necessari a ribaltare - in concomitanza con quelli descritti in materia di procedimenti - l'attuale tendenza di disfascimento delle istituzione e, con essa, alla disottemperanza della Costituzione i cui organi non funzionano più secondo gli schemi originali. Si tratta, in sostanza, di "registrare" - come nella stampa in tricromia - le funzioni di ciascuna istituzione e di ogni organo relativo in modo che i rispettivi confini siano esattamente delimitati e scompaiano le attuali aree di sovrapposizione da cui derivano confusione e indebolimento dello Stato. A titolo di esempio, si considerano due fenomeni: 1) lo spostamento dei centri di potere reale dal Parlamento ai sindacati ed al Governo ai padronati multinazionali con i correlativi strumenti di azione finanziaria. Sarebbero sufficienti una buona legge sulla programmazione che rivitalizzi il CNEL e una nuova struttura dei Ministeri accompagnate da norme amministrative moderne per restituire ai naturali detentori il potere oggi perduti; 2) l'involuzione subita dalla scuola negli ultimi 10 anni quale risultante di una giusta politica di ampliamento dell'area di istruzione pubblica, non accompagnata però dalla predisposizione di corpi docenti adeguati e preparati nonché dalla programmazione dei fabbisogni in tema di occupazione. Ne e' conseguente una forte e pericolosa disoccupazione intellettuale - con gravi deficienze invece nei settori tecnici nonché la tendenza a individuare nel titolo di studio il diritto al posto di lavoro. Discende ancora da tale stato di fatto la spinta all'egualitarismo assolto (contro la Costituzione che vuole tutelare il diritto allo studio superiore per i più meritevoli) e, con la delusione del non inserimento, il rifugio nella apatia della droga oppure nell'ideologia dell'eversione anche armata. Il rimedio consiste: nel chiudere il rubinetto del preteso automatismo: titolo di studio - posto di lavoro; nel predisporre strutture docenti valide; nel programmare, insieme al fenomeno economico, anche il relativo fabbisogno umano; infine nel restaurare il principio meritocratico imposto dalla Costituzione. Sotto molti profili, la definizione dei programmi intersecherà temi e notazioni già contenute nel recente Messaggio del Presidente della Repubblica - indubbiamente notevole - quale diagnosi della situazione del Paese, tenendo, però, ad indicare terapie più che a formulare nuove analisi. Detti programmi possono essere esecutivi - occorrendo - con normativa d'urgenza (decreti legge). a) Emergenza a breve termine . Il programma urgente comprende, al pari degli altri provvedimenti istituzionali (rivolti cioè a "registrare" le istituzioni) e provvedimenti di indole economico-sociale. a1) Ordinamento giudiziario: le modifiche più urgenti investono: - la responsabilità civile (per colpa) dei magistrati; - il divieto di nomina sulla stampa i magistrati comunque investiti di procedimenti giudiziari; - la normativa per l'accesso in carriera (esami psicoattitudinali preliminari); - la modifica delle norme in tema di facoltà libertà provvisoria in presenza dei reati di eversione - anche tentata - nei confronti dello Stato e della Costituzione, nonché di violazione delle norme sull'ordine pubblico, di rapina a mano armata, di sequestro di persona e di violenza in generale. a2) Ordinamento del Governo 1 - legge sulla Presidenza del Consiglio e sui Minister (Cost. art. 95) per determinare competenze e numero (ridotto, con eliminazione o quasi dei Sottosegretari); 2 - legge sulla programmazione globale (Cost. art. 41) incentrata su un Ministero dell'economia che ingloba le attuali strutture di incentivazione (Cassa Mezz. - PPSS - Mediocredito Industria - Agricoltura), sul CNEL rivitalizzato quale punto d'incontro delle forze sociali e sindacali, imprenditoriali e culturali e su procedure d'incontro con il Parlamento e le Regioni; 3 - riforma dell'amministrazione (Cost. artt. 28 -97 - 98) fondato sulla teoria dell'atto pubblico non amministrativo, sulla netta separazione della responsabiltà politica da quella amministrativa che diviene personale (istituzione dei Segretari Generali di Ministero) e sulla sostituzione del principio del silenzio-rifiuto con quello del silenzio-consenso; 4 - definizione della riserva di legge nei limiti voluti e richiesti espressamente dalla Costituzione e individuazione delle aree di normativa secondaria (regolamentare) in ispecie di quelle regionali che debbono essere obbligatoriamente limitate nell'ambito delle leggi cornice. a3) Ordinamento del Parlamento 1) ripartizione di fatto, di competenze fra le due Camere (funzione politica alla CD e funzione economica al SR); 2) modifica (già in corso) dei rispettivi Regolamenti per ridare forza al principio del rapporto (Cost. art. 64) fra maggioranza-Governo da un lato, e opposizione, dall'altro, in luogo della attuale tendenza assemblearistica; 3) adozione del principio delle sessioni temporali in funzione di esecuzione del programma governativo.
b) Provvedimenti economico-sociali b1) abolizione della validità legale dei titoli di studio (per sfollare le università e dare il tempo di elaborare una seria riforma della scuola che attui i precetti della Costituzione); b2) adozione di un orario unico nazionale di 7 ore e 30' effettive (dalle 8,30 alle 17) salvi i turni necessari per gli impianti a ritmo di 24 ore, obbligatorio per tutte le attività pubbliche e private; b3) eliminazione delle festività infrasettimanali e dei relativi ponti (salvo 2 giugno – Natale - Capodanno e Ferragosto) da riconcedere in un forfait di 7 giorni aggiuntivi alle ferie annuali di diritto; b4) obbligo di attuare in ogni azienda ed organo di Stato i turni di festività - anche per sorteggio - in tutti i periodi dell'anno, sia per annualizzare l'attività dell'industria turistica, sia per evitare la "sindrome estiva" che blocca le attività produttive; b5) revisione della riforma tributaria nelle seguenti direzioni: 1 - revisione delle aliquote per i lavoratori dipendenti aggiornandole al tasso di svalutazione 1973-76; 2 - nettizzazione all'origine di tutti gli stipendi e i salari delle P.A. (onde evitare gli enormi costi delle relative partite di giro); 3 - inasprimento delle aliquote sui redditi professionali e sulle rendite; 4 - abbattimento delle aliquote per donazioni e contributi a fondazioni scientifiche e culturali riconosciute, allo scopo di sollecitare l'autofinanziamento premiando il reinvestimento del profitto; 5 - alleggerimento delle aliquote sui fondi aziendali destinati a riserve, ammortamenti, investimenti e garanzie, per sollecitare l'autofinanziamento delle aziende produttive; 6 - reciprocità fra Stato e dichiarante nell'obbligo di mutuo acquisto ai valori dichiarati ed accertati; b6) abolizione della nominatività dei titoli azionari per ridare fiato al mercato azionario e sollecitare meglio l'autofinanziamento delle aziende produttive; b7) eliminazione delle partite di giro fra aziende di Stato ed istituti finanziari di mano pubblica in sede di giro conti reciprochi che si risolvono - nel gioco degli interessi - in passività inutili dello stesso Stato; b8) concessione di forti sgravi fiscali ai capitali stranieri per agevolare il ritorno dei capitali dall'estero; b9) costituzione di un fondo nazionale per i servizi sociali (case - ospedali - scuole - trasporti) da alimentare con: 1 - sovraimposta IVA sui consumi voluttuari (automobili - generi di lusso) 2 - proventi dagli inasprimenti ex b5)4; 3 - finanziamenti e prestiti esteri su programma di spesa; 4 - stanziamenti appositi di bilancio per investimenti; 5 - diminuzione della spesa corrente per parziale pagamento di stipendi statali superiori a L. 7.000.000 annui con speciali buoni del Tesoro al 9% non commerciabili per due anni. Tale fondo va destinato a finanziare un programma biennale di spesa per almeno 10.000 miliardi. Le riforme di struttura relative vanno rinviate a dopo che sia stata assicurata la disponibilità dei fabbricati, essendo ridicolo riformare le gestioni in assenza di validi strumenti (si ricordino i guasti della riforma sanitaria di alcuni anni or sono che si risolvette nella creazione di 36.000 nuovi posti di consigliere di amministrazione e nella correlativa lottizzazione partitica in luogo di creare altri posti letto) Per quanto concerne la realizzabilità del piano edilizio in presenza della caotica legislazione esistente, sarà necessaria una legge che imponga alle Regioni programmi urgenti straordinari con termini brevissimi surrogabili dall'intervento diretto dello Stato; per quanto si riferisce in particolare all'edilizia abitativa, il ricorso al sistema dei comprensori obbligatori sul modello svedese ed al sistema francese dei mutui individuali agevolati sembra il metodo migliore per rilanciare questo settore che e' da considerare il volano della ripresa economica; b10) aumentare la redditività del risparmio postale elevando il tasso al 7%; b11) concedere incentivi prioritari ai settori: I - turistico II - trasporti marittimi III - agricolo specializzato (primizie zootecnia) IV - energetico convenzionale e futuribile (nucleare - geotermico - solare) V - industria chimica fine e metalmeccanica specializzata di trasformazione; in modo da sollecitare investimenti in settori ad alto tasso di mano d'opera ed apportatori di valuta; b12) sospendere tutte le licenze ed i relativi incentivi per impianti di raffinazione primaria del petrolio e di produzione siderurgica pesante.
c) Pregiudiziale e' che oggi ogni attività secondo quanto sub a) e b) trovi protagonista e gestore un Governo deciso ad essere non già autoritario bensì soltanto autorevole e deciso a fare rispettare le leggi esistenti. Così e' evidente che le forze dell'ordine possono essere mobilitate per ripulire il paese dai teppisti ordinari e pseudo politici e dalle relative centrali direttive soltanto alla condizione che la Magistratura li processi e condanni rapidamente inviandoli in carceri ove scontino la pena senza fomentare nuove rivolte o condurre una vita comoda. Sotto tale profilo, sembra necessario che alle forze di P.S. sia restituita la facoltà di interrogatorio d'urgenza degli arrestati in presenza dei reati di eversione e tentata eversione dell'ordinamento, nonché di violenza e resistenza alle forze dell'ordine, di violazione della legge sull'ordine pubblico, di sequestro di persona, di rapina a mano armata e di violenza in generale.
d) Altro punto chiave è l'immediata costituzione di una agenzia per il coordinamento della stampa locale (da acquisire con operazioni successive nel tempo) e della TV via cavo da impiantare a catena in modo da controllare la pubblica opinione media nel vivo del Paese. E' inoltre opportuno acquisire uno o due periodici da contrapporre a Panorama, Espresso, Europeo sulla formula viva "Settimanale".
MEDIO E LUNGO TERMINE
Nel presupposto dell'attuazione di un programma a breve termine come sopra definito, rimane da tratteggiare per sommi capi un programma a medio e lungo termine con l'avvertenza che mentre per quanto riguarda i problemi istituzionali è possibile fin d'ora formulare ipotesi concrete, in materia di interventi economico-sociali, salvo per quel che attiene pochissimi grandi temi, è necessario rinviare nel tempo l'elencazione di problemi e relativi rimedi. a) Provvedimenti istituzionali a1) Ordinamento Giudiziario I - unità del Pubblico Ministero (a norma della Costituzione - articoli 107 e 112 ove il P.M. e' distinto dai giudici); II - responsabilità del Guardasigilli verso il Parlamento sull'operato del P.M. (modifica costituzionale); III - istruzione pubblica dei processi nella dialettica fra pubblica accusa e difesa di fronte ai giudici giudicanti, con abolizione di ogni segreto istruttorio con i relativi e connessi pericoli ed eliminando le attuali due fasi di istruzione; IV - riforma del Consiglio Superiore della Magistratura che deve essere responsabile verso il Parlamento (modifica costituzionale); V - riforma dell'ordinamento giudiziario per ristabilire criteri di selezione per merito delle promozioni dei magistrati, imporre limiti di età per le funzioni di accusa, separare le carriere requirente e giudicante, ridurre a giudicante la funzione pretorile; VI - esperimento di elezione di magistrati (Costit. art. 106) fra avvocati con 25 anni di funzioni in possesso di particolari requisiti morali; a2) Ordinamento del Governo I - modifica della Costituzione per stabilire che il Presidente del Consiglio e' eletto dalla Camera all'inizio di ogni legislatura e può essere rovesciato soltanto attraverso le elezioni del successore; II - modifica della Costituzione per stabilire che i Ministri perdono la qualità di parlamentari; III - revisione della legge sulla contabilità dello Stato e di quella sul bilancio dello Stato (per modificarne la natura da competenza in cassa); IV - revisione della legge sulla finanza locale per stabilire - previo consolidamento del debito attuale degli enti locali da riassorbire in 50 anni - che Regioni e Comuni possono spendere al di là delle sovvenzioni statali soltanto i proventi di emissioni di obbligazioni di scopo (esenti da imposte e detraibili) e cioè relative ad opere pubbliche da finanziare, secondo il modello USA. Altrimenti il concetto di autonomia diviene di sola libertà di spesa basata sui debiti; V - riforma della legge comunale e provinciale per sopprimere le province e ridefinire i i compiti dei Comuni dettando nuove norme sui controlli finanziari; a3) Ordinamento del Parlamento I - nuove leggi elettorali, per la Camera, di tipo misto (uninominale e proporzionale secondo il modello tedesco) riducendo il numero dei deputati a 450 e, per il Senato, di rappresentanza di secondo grado, regionale, degli interessi economici, sociali e culturali, diminuendo a 250 il numero dei senatori ed elevando da 5 a 25 quello dei senatori a vita di nomina presidenziale, con aumento delle categorie relative (ex parlamentari - ex magistrati - ex funzionari e imprenditori pubblici - ex militari ecc.); II - modifica della Costituzione per dare alla Camera preminenza politica (nomina del Primo Ministro) ed alla Senato preponderanza economica (esame del bilancio); III - stabilire norme per effettuare in uno stesso giorno ogni 4 anni le elezioni nazionali, regionali e comunali (modifica costituzionale); IV - stabilire che i decreti-legge sono inemendabili; a4) Ordinamento di altri organi istituzionali I - Corte Costituzionale: sancire l'incompatibilità successiva dei giudici a cariche elettive in enti pubblici; sancire il divieto di sentenze cosiddette attive (che trasformano la Corte in organo legislativo di fatto); II - Presidente della Repubblica: ridurre a 5 anni il mandato, sancire l'ineleggibilità ed eliminare il semestre bianco (modifica costituzionale); III - Regioni: modifica della Costituzione per ridurre il numero e determinarne i confini secondo criteri geoeconomici più che storici. Provvedimenti economico sociali.
b1) Nuova legislazione antiurbanesimo subordinando il diritto di residenza alla dimostrazione di possedere un posto di lavoro e un reddito sufficiente (per evitare che saltino le finanze dei grandi Comuni); b2) Nuova legislazione urbanistica favorendo le città satelliti e trasformando la scienza urbanistica da edilizia in scienza dei trasporti veloci suburbani; b3) nuova legislazione sulla stampa in senso protettivo della dignità del cittadino (sul modello inglese) e stabilendo l'obbligo di pubblicare ogni anno i bilanci nonché le retribuzioni dei giornalisti; b4) unificazione di tutti gli istituti ed enti previdenziali ed assistenziali in un unico ente di sicurezza sociale da gestire con formule di tipo assicurativo allo scopo di ridurre i costi attuali; b5) disciplinare e moralizzare il settore pensionistico stabilendo: il divieto del pagamento di pensioni prima dei 60 anni salvo casi di riconosciuta inabilità; il controllo rigido sulle pensioni di invalidità; l'eliminazione del fenomeno del cumulo di più pensioni; b6) dare attuazione agli articoli 39 e 40 della Costituzione regolando la vita dei sindacati limitando il diritto di sciopero nel senso di: I - introdurre l'obbligo di preavviso dopo aver spedito il concordato; II - escludere i servizi pubblici essenziali (trasporti; dogane; ospedali e cliniche; imposte; pubbliche amministrazioni in genere) ovvero garantirne il corretto svolgimento; III - limitare il diritto di sciopero alle causali economiche ed assicurare comunque la libertà di lavoro; b7) nuova legislazione sulla partecipazione dei lavoratori alla proprietà azionaria delle imprese e sulla gestione (modello tedesco); b8) nuova legislazione sull'assetto del territorio (ecologia, difesa del suolo, disciplina delle acque, rimboscamento, insediamenti umani); b9) legislazione antimonopolio (modello USA); b10) nuova legislazione bancaria (modello francese); b11) riforma della scuola (selezione meritocratica - borse di studio ai non abbienti - scuole di Stato normale e politecnica sul modello francese); b12) riforma ospedaliera e sanitaria sul modello tedesco. c) Stampa - Abolire tutte le provvidenze agevolative dirette a sanare bilanci deficitari con onere del pubblico erario ed abolire il monopolio RAI-TV.
Vicende in cui è implicata la loggia P2
- Strage del treno Italicus - strage di Bologna - strage di Ustica - strage di Piazza Fontana - strage del rapido 904 - omicidio Calvi - omicidio Pecorelli - omicidio Olof Palme - omicidio Semerari - colpo di stato militare in Argentina - tentativo di colpo di stato di Junio Valerio Borghese - tentativo di colpo di stato della Rosa dei Venti - caso dei dossier illegali del SIFAR - operazione Minareto - falso rapimento Sindona - tentativo di depistamento durante il rapimento Moro - rapimento Bulgari - rapimento Ortolani - rapimento Amedeo - rapimento Danesi - rapimento Amati - rapporti con la banda della Magliana - rapporti con la banda dei marsigliesi - inchiesta sul traffico di armi e droga del giudice Carlo Palermo - riciclaggio narcodollari (caso Locascio) - caso Cavalieri del Lavoro di Catania - fuga di Herbert Kappler - crack Sindona - crack Banco Ambrosiano - crack Finabank - scandali finanziari legati allo IOR - caso Rizzoli-Corriere della Sera - caso SIPRA-Rizzoli - scandalo dei Petroli - caso M. Fo. Biali - caso Eni-Petronim - caso Kollbrunner - cospirazione politica e truffa di Antonio Viezzer - cospirazione politica di Raffaele Giudice - cospirazione politica di Pietro Musumeci - cospirazione politica e falsificazione documenti di Antonio La Bruna - finanziamenti FIAT alla massoneria
http://www.disinformazione.it http://www.disinformazione.it/loggiaP2.htm
italy.indymedia.org/news/2002/12/124970.php
|
|
versione
stampabile | invia ad un amico
| aggiungi un
commento | apri un dibattito
sul forum |
|
|
Destra Nazionale Occulta!!
|
|
by
Fireman Thursday, Dec. 05, 2002 at 6:19 PM |
mail:
|
Spero con tutto il cuore che veniate bloccati e devastati da qualcuno. Non solo Destra Nazionale è piena di uomini dei servizi segreti, massoneria, (ricordo che nel curriculum di Saya si parla proprio di una loggia specifica..la D1 o roba del genere..non è un po troppo simile alla P2?? Che ne dite?) difendono i poliziotti e se li fano amici..hanno creato di recente pure un sindacato per le loro care forze dell'ordine che di cazzate sto periodo troppe ne hanno fatte, anche se non voglio far di tutta l'erba un fascio (eheh..ci sta a pennello questa!) Saya è sempre stato massone e peraltro proviene da quella feccia dei servizi segreti di cui sara strapieno quel partito. Per non parlare poi dei loro reparti di protezione nazionale..vogliono sbarazzarsi degli islamici e farli fuori tutti..peggio che fascisti..Nazisti!! Spero davvero di non incontrare una di quelle camicie grige altrimenti gli faccio un cappottone! Ci manca solo che con le loro amicizie poliziesche non ce li ritroviamo come pubblici uficiali in massa per le citta a fare gli eroi! :)
|
|
versione
stampabile | invia ad un amico
| aggiungi un
commento | apri un dibattito
sul forum |
|
|
Francesi
|
|
by
Fireman Friday, Dec. 06, 2002 at 8:01 AM |
mail:
|
Saranno anche delle merde ma guarda caso amnistia è uno dei principali e accreditati giornali virtuali francesi. Hanno spulciato in quel partito e si sono accorti anche loro che è un movimento destrista strapieno di uomini dei servizi segreti, massoneria ecc.. Non mi stupisco che siano anche in grado di monitorare e gestire chissa quali cose occulte. Mirano (da quello che so avendo parlato con uno di questi) a creare un vero fronte di (come la chiamano loro) vera destra,a mio avviso governata ovviamente da poliziotti,servizi segreti e credo anche massoneria, logge ecc.. Non a caso saya era amico intimo di Gelli...guarda caso! E guarda caso faceva parte dei servizi. Andatevi a leggere il curriculum del capo di destra nazionale a: http://www.destranazionale.org/Curriculum.html A Milano e a Firenze mi è capitato di veder girare alcune camicie grige ma non son sicuro che fossero dei reparti protezione. Francamente non sottovaluto il problema...se la gente dara credito a questi che si stanno diffondendo a macchia d'olio ci ritroveremo con un altro governo di destra! Fermatevi a pensare...sarebbe bene fermarli e fare delle manifestazioni contro loro, la fiamma tricolore e affini! W IL CHE!!!!
|
|
versione
stampabile | invia ad un amico
| aggiungi un
commento | apri un dibattito
sul forum |
|
|
non vinceranno piú
|
|
by
potere proletario Saturday, Dec. 07, 2002 at 1:26 PM |
mail:
|
resistenza.jpgjv3l33.jpg, image/jpeg, 711x971
Caro brigadiere robi,
tu dici: << ... perchè...anzi mi rivolgo ai camerati perchè non facciamo un movimento anti-rossi??? propongo lanciafiamme in dotazione...>>!
Ci avete giá provato in passato come ben ti rammenta il nostro amico carlo! con lanciafiamme fucili e tutte ste merde che sapete usare invece di ascoltare le opinioni altrui CIVILMENTE !!!
MA ASCOLTA BENE QUESTO: VI ABBIAMO GIÁ STRAVINTO, VI STIAMO SUPERANDO IN NUMERO E QUALITÁ E VI VINCEREMMO UNA DIECI CENTO MILLE VOLTE !!!!
Siamo il futuro dell'Umanitá, siamo in ogni persona delle MASSE insorgenti contro il neo-colonialismo imperante in tutto il mondo ed abbiamo giá in tasca la NOSTRA vittoria, la VITTORIA dell'UOMO sulla sudditanza imposta dalla cieca ed ignorante reazionaria violenza che vi CARATTERIZZA !!!
L'esecuzione di Mussolini
Il precipitare della situazione militare, con il crollo del fronte appenninico e la liberazione di Bologna, inducevano Mussolini ad un tentativo estremo di compromesso. Il pomeriggio del 25 aprile, nella sede arcivescovile e alla presenza del cardinale Schuster, egli si incontrava con i rappresentanti del ClnAl, Giustino Arpesani, Luigi Cadorna, Riccardo Lombardi, Achille Marazza e Sandro Pertini. Le proposte del ClnAl erano precise e ultimative: resa incondizionata entro due ore; concentrazione di tutte le forze fasciste nel triangolo Milano-Como-Lecco e la loro consegna al Corpo Volontari della Libertà con formale deposizione delle armi. Secondo le testimonianze dei presenti, Mussolini sembrava sul punto di accettare la proposta, quando entrava nello studio Graziani, annunciando l'imminente resa dei tedeschi. La notizia interrompeva il colloquio: Mussolini, attonito, minacciava di denunciare per radio il tradimento tedesco e contemporaneamente si impegnava a dare una risposta entro un’ora al ClnAl. I momenti successivi erano un intrecciarsi di consultazioni febbrili: mentre l’insurrezione divampava in tutta l'Italia del Nord, il fascismo viveva il panico della fine, isolato sia dai controllo degli eventi, sia da ogni contatto con la realtà. La sera del 25 Mussolini prendeva la decisione della fuga, forse con il proposito di raggiungere la Svizzera, o forse una zona ancora controllata dalla Wehrmacht. Prevedendo di essere prima o poi catturato dagli Alleati, lasciava Milano per Como, portandosi dietro una quantità di documenti che presumbilmente gli sarebbero serviti per la difesa in un futuro processo. Da Como il viaggio proseguiva a rilento, tra timori di attacchi partigiani e dubbi sui percorso e sulla destinazione, finché nel pomeriggio del 27 aprile la colonna, composta da gerarchi fascisti e da soldati tedeschi, veniva fermata a un posto di blocco partigiano a Musso, poco prima di Dongo, sulla via per Svizzera. Mussolini,riconosciuto,venne condotto in una vicina casa colonica con l’amante Claretta Petacci. Il mattino successivo venivano consegnati al rappresentante del ClnAl, Walter Audisio, il quale, secondo quanto avrebbe raccontato più tardi, giustiziava personalmente il Duce con una raffica di mitra. Lo stesso 28 aprile venivano fucilati a Dongo alti dirigenti fascisti e uomini vicino al Duce, tra cui Pavolini, Mezzasoma, Zerbino, Marcello Petacci. Il 29 aprile i cadaveri di Mussolini, della Petacci e dei fucilati di Dongo vennero trasportati a Milano ed esposti alla pubblica vista in piazzale Loreto. Appesi per i piedi al tetto di un distributore di benzina, i cadaveri penzolarono per tutta la giornata, di fronte a una folla esacerbata e tumultuante. --------------------------------------------------------------------------------
HOME http://digilander.libero.it/secondaguerra/eventi.html
Giá ci avete provato in passato ........ cari fasci !!!!!!!! Ma questa volta non ve lo permetteremmo piú! Luridi porci aSSaSSini !!!
Milano, 10 agosto '44. Un giovane miliziano della Muti, con i distintivi e il moschetto bene in vista, monta la guardia ai corpi dei 15 fucilati. Il suo sguardo dice probabilmente più di quanto lui stesso vorrebbe ammettere sull'orrore di quella tragica giornata.
Da "Storia fotografica della RSI" - Bollati Boringhieri, Torino 2001
http://www.anpi.it/milano/muti_pleloreto.htm
|
|
versione
stampabile | invia ad un amico
| aggiungi un
commento | apri un dibattito
sul forum |
|
|
Niente di meglio da fare!!!
|
|
by
riot Sunday, Dec. 08, 2002 at 8:17 AM |
mail:
|
Niente di meglio da fare per il capo in persona che corregere gli errori ortografici??? Complimenti di questo passo andrete avanti, verso l'estinzione, della vostra specie. E meno male, aggiungo!!! Il fascismo morirà, ma voi altri siete già finiti da tempo, se mai siete esistiti. Addio.
|
|
versione
stampabile | invia ad un amico
| aggiungi un
commento | apri un dibattito
sul forum |
|
|
Niente di meglio da fare!!!
|
|
by
sturm und drang Sunday, Dec. 08, 2002 at 8:37 AM |
mail:
|
Niente di meglio da fare per il capo di Destra Nazionale in persona (che onore!!!)che corregere gli errori ortografici di noi altri poveri ignoranti comunisti??? Ma fateci il piacere, e già che ci siete trovate anche qualcosa di meglio da fare che la fine del fascismo è molto molto vicina... Ah, dimenticavo voi fasci-nazi siete già finiti da tempo se mai siete esistiti. Addio.
|
|
versione
stampabile | invia ad un amico
| aggiungi un
commento | apri un dibattito
sul forum |
|
|
PROFEZIE
|
|
by
SKORPIO Tuesday, Dec. 10, 2002 at 3:01 PM |
mail:
|
Attenti comunistelli...a quanto pare sono tante le profezie che spingeranno l'Italia verso il vostro massacro...non ci sarete piu e governera la destra..la vera destra! Attednete...gli sconvolgimenti sono vicini...verranno da soli e poi verra il nuovo ordine dei secoli! Badate...i tempi non sono poi cosi lunghi!
|
|
versione
stampabile | invia ad un amico
| aggiungi un
commento | apri un dibattito
sul forum |
|
|
DESTRA NAZIONALE E CIA
|
|
by
Giorgio 26 Thursday, Dec. 12, 2002 at 2:47 PM |
mail:
|
Il partito destra nazionale di Gaetano Saya (approfondisco in poche parole quello gia detto da Fireman) è un partito che ha collegamenti su collegamentei con la CIA e i servizi segreti internazionali. Saya fu veramente agente dei servizi segreti e milito in strutture dell Stato e della polizia che credo siano molto occulte e non è detto che non esistano piu! Dico questo per mettere in risalto la pericolosita di questi uomini che compongono destra nazionale, un partito che peraltro mira a creare sempre di piu i coiddetti reparti di protezione nazionale...è molto probabile che essendo questi riconosciuti (ho visitato il loro sito e li ho anche contattati e purtroppo han tutto in regola) dalle autorita nazionali, un domani diventino anche pubblici ufficiali. Propongo una manifestazione contro questo partito e contro i reparti di protezione nazionale ma soprattutto contro Saya e il suo segreto passato e le ovvie connivenze con i servizi segreti mondiali. Il giornale internazionale francese amnistia non ha fatto a caso un reportage sul partito di Saya...qualcosa c'è sicuramente sotto, almeno questo è quello che penso. Ragazi, se questi prendono anche un bel minimo potere son cazzi amari per tutti...sarà poi un problema liberarsene. Sono massoni che lavorano a livello internazionale e hanno appoggi da diversi movimenti politici europei nonchè societa segrete americane..son certo di questo! Magari mi sbagliassi. Non mi meraviglierei se Saya conoscesse bene anche qualche Skull americano di Yale...:( Che ne pensate?
|
|
versione
stampabile | invia ad un amico
| aggiungi un
commento | apri un dibattito
sul forum |
|
|
mah!
|
|
by
Werwolf Thursday, Dec. 12, 2002 at 5:33 PM |
mail:
ge |
fascismo? antifascismo? parole che oggi non hanno senso, se non per qualche residuato. Oggi la battaglia non è, purtroppo, tra Fascismo ed Antifascismo, ma tra Occidente e Oriente, tra Nord e Sud... finiamola con queste trame, dietrologie, elucubrazioni. Sta scoppiando una guerra nucleare e ci stiamo ancora scannando per 4 sfigati che pensano di ricostruire il PNF e altrettanto sfigati che parlano di potere operaio e rivoluzione... la rivoluzione non è attuabile, mettetevelo bene in testa. Se vogliamo cambiare il mondo lo dobbiamo fare insieme, nel nostro piccolo. Ve lo dice uno che si è rotto veramente le palle delle infinite discussioni su un mondo diverso possibile o su altro. Il capitalismo ha vinto, prima il fascismo (il fascismo è stato sconfitto non a stalingrado, ma ad el alamein ed in normandia) e poi il comunismo. Sono pessimista...
eg
|
|
versione
stampabile | invia ad un amico
| aggiungi un
commento | apri un dibattito
sul forum |
|
|
G.SAYA NEL FORUM??
|
|
by
Fireman Saturday, Dec. 14, 2002 at 2:58 PM |
mail:
|
Uela' addiritttura il grande Saya nel forum! Che onore! Perchè non ci spiega tutte le connessioni tra il suo partito, la massoneria e la cia? La cosa ci interesserebbe molto! Sanno tutti che DESTRA NAZIONALE è un partito formato da pericolosi agenti dei servizi segreti internazionali...come ce lo spiega? Li arruolate tra gli iscritti. So che avete circa 7000 iscritti...io propongo di fare una manifestazione contro questo partito per bloccare il loro crescere e decretare la loro fine mettendo a nudo cio che sono realmente..che ne pensate compagni? W IL CHE SIEMPRE!!
|
|
versione
stampabile | invia ad un amico
| aggiungi un
commento | apri un dibattito
sul forum |
|
|
ROSSI MERDE
|
|
by
LO ZIO ADOLF Saturday, Dec. 14, 2002 at 6:31 PM |
mail:
|
COMUNISTI DEL CAZZO CONIGLI CHE BNON SIETE ALTRO AL TEMPO DELLE BRIGATE ROSSE SCAPPAVATE COME DELLE MERDE AH MA LO SIETE. COMUNQUE IL CHE LEBBROSO è MORTO E MORIRETE VOI YUTTI INSIEME A LUI, RICORDATE IL COMUNISMO SIGNIFICA MERDA E IL FASCISMO LIBERAZIONE DA VOI DALLE VOSTRE IDEE STUPIDE CHE NON HANNO SENSO IN UNA CIVLITà COME LA NOSTRA CI VUOLE RAZZISMO ANTISEMITISMO CON QUEI EBREI,NEGRI CHE ANCORA DIFENDETE. ORDINE NUOVO SEMPRE- DVX MEA LVX
|
|
versione
stampabile | invia ad un amico
| aggiungi un
commento | apri un dibattito
sul forum |
|
|
mi fai solo pena...
|
|
by
Piccola Rossa... Saturday, Dec. 14, 2002 at 7:34 PM |
mail:
|
Almeno il(mitico) CHEGUEVARA è morto combattendo per le cose in cui credeva e per le quali lui ha combattuto a contrario del vostro caro cazzone di "DUX" ke al fronte ci mandava i poveri disperati distrutti dalla fame e dal bisogno di un appoggio psicologico...leggi tutti i saggi psicologici sull'attecchimento del NAZI-FASCISMO e poi me lo ridirai...la gente aveva fame e era disperata!!!!
|
|
versione
stampabile | invia ad un amico
| aggiungi un
commento | apri un dibattito
sul forum |
|
|
PROPONGO IL SILENZIO
|
|
by
MARCO Wednesday, Dec. 18, 2002 at 6:54 PM |
mail:
|
Io con un fascista mi ci confronto, ma con i bambini che amano le figurine, adopero altro metodo, entra in campo il mio utilizzo della psicologia. Mi siedo, lascio il paziente sul suo lettino e lo aiuto con il silenzio a descrivermi i suoi desideri feticisti.
La destra è spesso anche pedofila, perche' non riesca a crescere ideologicamente, spesso i miei pazienti di destra mi dicono che la notte amano farsi frustare dalle cosi' dette : " classi basse ".
Lasciamoli in silenzio, dopo questo mio ultimo, spero, post, vedrete piano piano cosa tirano fuori.
Quando ad un fascista mentale, gli elimini l'applauso e i fischi, non gli rimane che sputare le proprie porcherie covinto di non essere ascoltato.
Niente più post -
politicamente.
|
|
versione
stampabile | invia ad un amico
| aggiungi un
commento | apri un dibattito
sul forum |
|
|
Revisionismo o Storia?
|
|
by
Littore Wednesday, Dec. 18, 2002 at 10:31 PM |
mail:
|
Fortunatamente, con una infinità di testimonianze e documenti dalla rigorosa autenticità, si sta rimettendo un po di ordine nella Storia, dopo che ci sono state raccontate ben 50 anni di cazzate sulla guerra civile (....) cosi che tutti si stanno ravvedendo su quella categoria di vigliacchi, assassini e traditori al tempo chiamati partigiani. Molta gente è ancora assurdamente convinta che loro abbiano vinto la guerra, e non gli americani!....
|
|
versione
stampabile | invia ad un amico
| aggiungi un
commento | apri un dibattito
sul forum |
|
|
Invece secondo me...
|
|
by
Fireman Friday, Dec. 20, 2002 at 2:43 PM |
mail:
|
Per me una bella manifestazione per farci sentire e fal mal vedere quella gentaglia di merda e sputtanarli di brutto non farebbe male...non è una brutta idea! Che siano dei frustrati si sa, ma è troppo bello sfondarli anche in campo aperto, eheheh. Che ne dite di una manifestazione (in tutti con magliette del CHE e bandiere rosse per farli rodere) a Milano o a Roma?
|
|
versione
stampabile | invia ad un amico
| aggiungi un
commento | apri un dibattito
sul forum |
|
|
se fini è fascista io sono adolf hitler..
|
|
by
zarathustra Saturday, Dec. 21, 2002 at 6:56 PM |
mail:
|
siete patetici...
sia voi komunisti antifascisti in servizio permanente effettivo coi soldi dei padroni dei giornali delle università delle industrie nelle quali siete lautamente pagati o lo sarete ben presto...
sia voi destrini che vi difendedete uno che vi ha tutti venduti a berlusca....
sia voi estremisti di destra che v'illudete di essere duri e puri quando invece scambiare cristo-re con schiffer (non claudia, coglioni! ma la ss che guidò la spedizione della anenherbe in tibet!!)...
...siete fortunati, coglionbi kompagni: se i fascisti che tanto temete sono questi...poveri voi...
|
|
versione
stampabile | invia ad un amico
| aggiungi un
commento | apri un dibattito
sul forum |
|
|
SENTENZA
|
|
by
Pecorelli Andrea Friday, Dec. 27, 2002 at 1:48 PM |
mail:
|
il_pollo___servito.gifwaocdx.gif, image/gif, 566x775
Pecorelli Andrea,Pecorelli Rosina e in via incidentale,da Pecorelli Stefano dichiara Badalamenti Gaetano e Andreotti Giulio colpevoli del delitto di cui agli art...e,concesse le attenuanti generiche,ritenute equivalenti alla circostanza aggravante della premeditazione, http://italy.indymedia.org/news/2002/12/129095_comment.php#129119
"In nome del popolo italiano, la Corte di assise di appello di Perugia alla pubblica udienza del 17/11/2002 ha pronunciato la seguente sentenza: visti gli art. 591 e 592 c.p.p. dichiara inammissibile l'impugnazione proposta dall'imputato Claudio Vitalone e lo condanna al pagamento delle spese cui ha dato causa. Visti gli art. 539, 542, 592, 605 c.p.p., 28 c.p.
in parziale riforma della sentenza in data 24/9/1999 della Corte d'assise di Perugia nei confronti di Calo' Giuseppe, Andreotti Giulio, Vitalone Claudio, Carminati Massimo, Badalamenti Gaetano e La Barbera Michelangelo, appellata dal procuratore della Repubblica presso il tribunale di Perugia, delle parti civili Pecorelli Andrea, Pecorelli Rosina e in via incidentale, da Pecorelli Stefano dichiara Badalamenti Gaetano e Andreotti Giulio colpevoli del delitto di cui agli art. 110, 575, 573, n.3 c.p. e, concesse le attenuanti generiche, ritenute equivalenti alla circostanza aggravante della premeditazione, esclusa la circostanza aggravante di cui all'art. 112, n.1 c.p., condanna ciascuno dei predetti imputati alla pena di anni 24 di reclusione, con interdizione perpetua dai pubblici uffici, nonché al pagamento in solido delle spese processuali di entrambi i gradi di giudizio e di quelle sostenute dalle parti civili che liquida, quanto a Pecorelli Stefano, in euro 24.200, nonché al risarcimento dei danni da liquidarsi in separato giudizio civile assegnando al predetto a titolo di provvisionale, immediatamente esecutiva, euro 100.000, quando a Pecorelli Rosina, per entrambi i gradi di giudizio in euro 42.900, nonché al risarcimento dei danni da liquidarsi in separato giudizio civile, assegnando a titolo di provvisionale, immediatamente esecutiva, euro 50.000 e, quanto a Pecorelli Andrea in euro 24.200, nonché al risarcimento dei danni da liquidarsi in separato giudizio civile, assegnando a titolo di provvisionale, immediatamente esecutiva euro 100.000. Conferma nel resto l'appellata sentenza nei confronti di Calò Giuseppe, Vitalone Claudio, Carminati Massimo e La Barbera Michelangelo. Visto l'art. 544, comma 3/o, c.p.p., considerata la particolare complessità del caso e, conseguentemente della motivazione, assegna il termine di giorni 90 per il deposito della motivazione della sentenza". (ANSA)
http://www.rainews24.rai.it/ran24/speciali/pecorelli/default.htm
http://italy.indymedia.org/news/2002/12/129080_comment.php#129081
Il VAMPIRO ormai c'ha i denti putrefatti! Adesso che non c'ha il pane ma i denti, o il pene e non il pane, il pene del cane in culo si metta i suoi denti ...o del cane il pane ....booooooh
Comunque adesso a quella brutta civetta cifotica sanguesuga di merda,mostro pluriomicida misantropo antropofago ... ci staccheremmo i denti dalla testa ...anche a costo di farci mordere dai suoi putridi e fetidi canini,caro conte dei miei stivali ....
http://italy.indymedia.org/news/2002/12/130883_comment.php#130884
italy.indymedia.org/news/2002/12/133991.php
|
|
versione
stampabile | invia ad un amico
| aggiungi un
commento | apri un dibattito
sul forum |
|
|
Adesso comincerete a capire ...
|
|
by
anarkiko insurrezionalista Friday, Dec. 27, 2002 at 1:53 PM |
mail:
|
in_galera.giftra7vw.gif, image/gif, 488x718
li arrestiamo mai o ci arresteranno?Andreotti é implicato direttamente od indirettamente in tutte queste robe !!! Vedi i seguenti linck per kapire di che cosa IO stia parlando,grazie:
A nessuno importa niente Di Emanuela Orlandi? Bisogna farle GIUSTIZIA a lei ed a TUTTE le vittime della menzogna,morte grazie alle perversioni di sette spesso rifugiate in ambiti 'rispettabili'come chiese,logge massoniche,sette e monasteri:vi prego occupatevene
Vi prego pubblicate un resoconto nella colonna centrale: ecco alcune documentazioni che io ho trovate su indymedia ... ciao e grazie ! ...satanismo in vaticano e cose del genere! Assurditá?Leggere please!
A proposito dei sacrifici a satana L’OMICIDIO DI SAMUELE E L’IPOTESI ESOTERICA http://cosco-giuseppe.tripod.com/esoterismo/samuele.htm
Jack lo Squartatore e il Mostro di Firenze: inquietanti analogie http://cosco-giuseppe.tripod.com/esoterismo/jack_lo_squartatore.htm
IL MOSTRO DI FIRENZE:la pista esoterica http://cosco-giuseppe.tripod.com/esoterismo/il_mostro_di_firenze.htm http://www.aspide.org/sommario.htm
INDAGINE SUL SATANISMO IN CALABRIA http://cosco-giuseppe.tripod.com/mitologia/doc19.htm
C’E’ UN LEGAME TRA EFFERATI OMICIDI SERIALI E LE IDEOLOGIE SATANICHE? FORSE SI. http://cosco-giuseppe.tripod.com/mitologia/serial_killer.htm http://italy.indymedia.org/news/2002/12/132384.php
----------------------------------- http://cosco-giuseppe.tripod.com/mitologia/sesso.htm Intervista a Giuseppe Cosco tratta da "Il Quotidiano" (della Calabria) di mercoledì 10
http://italy.indymedia.org/news/2002/12/132625.php
Altri crimini atroci ! Nei quali sarebbero coinvolte logge maSSoniche,cosche malavitose (la banda della 1 bianca),P2,serVIZI segreti(servi dei loro stessi VIZI a quanto pare:e poco segreti,tanto poSSono agire in tutta e sfacciata impuni´tá!) ;o(
Leggetevi i seguenti articolini dai:
http://italy.indymedia.org/news/2002/12/132340_comment.php#132572
Affiora un mosaico di orrori http://www.italy.indymedia.org/news/2002/12/132433.php
EMANUELA ORLANDI http://italy.indymedia.org/news/2002/12/132442.php
Vi piacciono le notizie 'forti'? http://www.lapadania.com/1998/giugno/26/260698p02a3.htm http://www.italy.indymedia.org/news/2002/12/132433.php
volete una notizia 'schok'? http://www.strano.net/stragi/tstragi/relmp2/index.html http://www.italy.indymedia.org/news/2002/12/132366.php
A proposito di p2,servizi segreti,massoneria ... satanismo in vaticano e cose del genere!Assurditá?Leggere please!
A proposito dei sacrifici a satana L’OMICIDIO DI SAMUELE E L’IPOTESI ESOTERICA http://cosco-giuseppe.tripod.com/esoterismo/samuele.htm
Jack lo Squartatore e il Mostro di Firenze: inquietanti analogie http://cosco-giuseppe.tripod.com/esoterismo/jack_lo_squartatore.htm
IL MOSTRO DI FIRENZE:la pista esoterica http://cosco-giuseppe.tripod.com/esoterismo/il_mostro_di_firenze.htm http://www.aspide.org/sommario.htm
INDAGINE SUL SATANISMO IN CALABRIA http://cosco-giuseppe.tripod.com/mitologia/doc19.htm
C’E’ UN LEGAME TRA EFFERATI OMICIDI SERIALI E LE IDEOLOGIE SATANICHE? FORSE SI. http://cosco-giuseppe.tripod.com/mitologia/serial_killer.htm http://italy.indymedia.org/news/2002/12/132384.php ----------------------------------- http://cosco-giuseppe.tripod.com/mitologia/sesso.htm
STREGONERIA E POTERE POLITICO E MILITARE http://cosco-giuseppe.tripod.com/storia/stregoneria.htm
ORRORI DI UNA SCIENZA ASSERVITA AL MALE http://cosco-giuseppe.tripod.com/storia/scienza.htm
PEDOFILIA, INTERNET E LA REALTA’ SPAVENTOSA DELLA FAMIGLIA http://cosco-giuseppe.tripod.com/tendenze/pedofilia.htm
massoneria,P2,stragi di stato http://www.strano.net/stragi/tstragi/relmp2/rel14p2.htm
I RAPPORTI INTERNAZIONALI http://www.strano.net/stragi/tstragi/relmp2/rel20p2.htm
LA LOGGIA P2 E IL MONDO POLITICO http://www.strano.net/stragi/tstragi/relmp2/rel21p2.htm http://members.xoom.virgilio.it/desnaz/DestraNazionale.htm http://italy.indymedia.org/news/2002/12/132366.php
http://italy.indymedia.org/news/2002/12/132340_comment.php#132572
http://www.italy.indymedia.org/news/2002/12/132340_comment.php#132572
http://www.italy.indymedia.org/news/2002/12/132340_comment.php#132572
http://italy.indymedia.org/news/2002/12/133006.php
|
|
versione
stampabile | invia ad un amico
| aggiungi un
commento | apri un dibattito
sul forum |
|
|
massoneria,P2,stragi di stato
|
|
by
anarkiko insurrezionalista Friday, Dec. 27, 2002 at 1:59 PM |
mail:
|
in_galera.gifq73kzv.gif, image/gif, 488x718
MASSONERIA:una società iniziatica di persone che professano la fraternità(i massoni)e si riconoscono tra loro per mezzo di segni ed emblemi.Si dividono in gruppi chiamati logge.Una leggenda vuole che la Massoneria sia stata originata da Hiram Abiff,architetto di Salomone
MASSONERIA:una società iniziatica di persone che professano la fraternità(i massoni)e si riconoscono tra loro per mezzo di segni ed emblemi.Si dividono in gruppi chiamati logge.Una leggenda vuole che la Massoneria sia stata originata da Hiram Abiff,architetto di Salomone, che già a quei t’empii aveva diviso i suoi operai in "apprendisti", "compagni" e "maestri".
I COLLEGAMENTI CON L’EVERSIONE
CONTATTI CON L’EVERSIONE NERA
Il periodo che corre tra il 1970 e il 1974 registra la proliferazione di movimenti extraparlamentari, la nascita di sempre nuove organizzazioni eversive paramilitari o terroristiche, la moltiplicazione di gravi delitti politici - secondo forme affatto nuove per il Paese - la rinnovata virulenza della malavita comune e delle sue organizzazioni criminali. Sono questi gli avvenimenti che formano il quadro entro cui si sviluppa quella che venne definita la "strategia della tensione", favorita dalla crisi economica e dalla crescente instabilità del quadro politico. Quegli anni, oltre ad essere caratterizzati, come abbiamo già visto, dall'intensa opera di politicizzazione della loggia svolta da Licio Gelli, si contraddistinguono anche per i collegamenti che ci è consentito di identificare tra Licio Gelli, la Loggia P2, suoi qualificati esponenti ed il complesso mondo dell'eversione nera. Dal materiale in possesso della Commissione si trae infatti la ragionata convinzione, condivisa peraltro da organi giudiziari, che la Loggia P2 attraverso il suo capo o suoi esponenti (le cui iniziative non possono considerarsi sempre soltanto a titolo personale) si collega più volte con gruppi ed organizzazioni eversive, incitandoli e favorendoli nei loro propositi criminosi con una azione che mirava ad inserirsi in quelle aree secondo un disegno politico proprio, da non identificare con le finalità, più o meno esplicite, che quelle forze e quei gruppi ponevano al loro operato. Al fine di procedere ad una lettura politica di queste relazioni e di questi collegamenti è d'uopo individuare entro la vasta mole di materiale documentale - peraltro ampiamente incompleto: né altrimenti poteva essere, in considerazione della vastità dell'argomento - che alla Commissione è pervenuto, alcuni episodi che si ritengono più significativi ai fini della nostra indagine, secondo il metodo di analisi espresso nell'introduzione al presente lavoro. Prima tra tali situazioni nelle quali appare sicuramente documentato un coinvolgimento significativo di Licio Gelli e di uomini della loggia, è il cosiddetto golpe Borghese, attuato nella notte tra il 7 e l'8 dicembre 1970, sotto la spinta degli esponenti oltranzisti del Fronte Nazionale, i quali avevano da ultimo prevalso all'interno dell'organizzazione. La vicenda ha registrato un lungo e non facile iter processuale, concluso con sentenza passata in giudicato, sul cui esito non è qui il caso di entrare, perché ai fini che a noi interessano quel che più preme è porre l'accento su alcuni aspetti sicuramente documentati che suffragano l'ipotesi prospettata della collusione esistente tra esponenti della loggia con questa situazione eversiva, tale da consentire una valutazione attendibile del rilievo concreto che tali contatti ebbero a rivestire. E’ così dato rilevare prima di tutto come molti dei personaggi che nel golpe ebbero un ruolo non secondario appartengano alla Loggia P2 o alla massoneria: così infatti troviamo tra gli attori di quella vicenda Vito Miceli, Duilio Fanali, Sandro Saccucci (da più fonti indicato come appartenente alla massoneria) assieme ad altri imputati del golpe quali Lo Vecchio, Casero, De Jorio, che tutti figurano nelle liste di Castiglion Fibocchi. Altre fonti poi riconducono alla massoneria sia Salvatore Drago, accusato di aver disegnato la pianta del Ministero dell'interno, sia il costruttore Remo Orlandini, che l'ispettore Santillo, nella sua terza nota informativa, indica più specificamente come appartenente alla Loggia P2. Questo primo dato di palese riscontro è suffragato da ulteriori testimonianze, anche documentali, dalle quali si evince come ambienti massonìci si fossero posti in posizione di collateralità o fiancheggiamento con i gruppi che al Borghese facevano capo. Esplicita in questo senso la lettera di Gavino Matta (comunione di Piazza del Gesù) al principe Borghese: "Caro Comandante, debbo comunicarle che la Loggia non intende assecondare la sua iniziativa, essendo per principio fondamentalmente contraria ai metodi violenti. Con la presente, pertanto, vengo autorizzato ad annullare ogni precedente intesa...". Questi elementi di indubbio riscontro fanno da cornice a situazioni di più puntuale incisività in ordine al ruolo che due personaggi quali Licio Gelli ed il Direttore del SID, Vito Miceli, ebbero a ricoprire durante e dopo il golpe. Come noto, punto cruciale di quella vicenda fu l'inopinato, per gli esecutori, arresto delle operazioni già avviate: Orlandini, stretto collaboratore del Borghese, dirà che non poca fatica gli costò correre ai ripari per fermare quei gruppi che già erano entrati in azione. Lo sconcerto provocato tra i congiurati da quella improvvisa inversione di marcia è del resto ben testimoniato dalla reazione di Sandro Saccucci, che poche settimane dopo ebbe ad esprimere l'auspicio che il responsabile venisse "preso", distinguendo nella vicenda la posizione dei golpisti da quella di "altre piccole manichette, più o meno in divisa". Numerose comunque sono le testimonianze dalle quali si evince la convinzione diffusa tra quanti avevano a vario titolo preso parte all'operazione "che qualcosa non aveva funzionato", o, come affermò Mario Rosa, stretto collaboratore di Borghese "...è la valvola di testa che non ha concorso a quello che doveva concorrere…". Recentemente alcune deposizioni di appartenenti agli ambienti dell'eversione nera consentono di indirizzare l'attenzione direttamente su Licio Gelli in relazione al contrordine operativo che paralizzò l'azione insurrezionale. Si hanno infatti testimonianze secondo le quali il Venerabile era ritenuto elemento determinante nel contrordine: tale il convincimento di Fabio De Felice, il quale ne fece parte ad un giovane adepto, Paolo Aleandri, che poi provvide a mettere in contatto con Licio Gelli. L'incarico era quello di tenere i contatti tra questi e l'avvocato De Jorio, allora latitante a Montecarlo; e in tale veste l'Aleandri ebbe numerosi incontri con Licio Gelli, che si sarebbe prodigato per "alleggerire" la posizione processuale degli imputati. Le deposizioni dell'Aleandri - che trovano conferma in quelle di altri elementi quali Calore, Sordi, Primicino - hanno il pregio di fornire la prova del contatto diretto tra Licio Gelli e quegli ambienti, aggiungendo un riscontro preciso alle considerazioni generali già espresse. E’ stato altresì testimoniato che Licio Gelli teneva il contatto con ufficiali dei carabinieri, e certo è che tra i congiurati era diffusa l'opinione che ambienti militari sostenevano o quanto meno tolleravano l'operazione. Certo, il Borghese si esprimeva nel suo proclama con decisione: "Le Forze Armate sono con noi". A loro volta questi elementi ben si inquadrano nel contesto di una serie di deposizioni dalle quali emerge come la generazione immediatamente successiva a quella direttamente coinvolta nel golpe Borghese vedeva nel Gelli l'espressione di ambienti "che in forma più o meno palese venivano contattati, però non con l'esplicita richiesta di aderire ad un golpe, quanto per avvicinarli a posizioni che implicassero un loro consenso per una svolta autoritaria o comunque per una democrazia forte". Tale almeno l'interpretazione di Fabio De Felice. Sta di fatto che nell'analisi che questa generazione forniva di quegli eventi si assumeva che un'opera di strumentalizzazione fosse poi stata messa in atto proprio dal Gelli e da coloro che gli erano vicino. Per tali considerazioni venne prospettata persino l'eventualità di eliminare fisicamente il Venerabile della Loggia P2, segno questo che la presenza di Gelli in quegli ambienti aveva assunto un rilievo non secondario, incidendo sulla loro operatività con conseguenze che venivano valutate come deleterie per l'organizzazione. Accanto alla figura di Licio Gelli, un altro elemento di spicco nell'analisi di questa vicenda è costituito dal generale Vito Miceli, direttore del SID dal 1970 al 1974. In proposito quello che a noi interessa è rilevare come sia accertata l'esistenza di contatti tra il generale Miceli, allora nella sua veste di capo del SIOS, Orlandini e Borghese, contatti da far risalire al 1969, epoca nella quale il generale entra nella Loggia P2. Tali eventi si accompagnano significativamente alla sua nomina al vertice dei Servizi, che il Gelli si vantò, come sappiamo, di aver favorito e che precede di poco il tentativo insurrezionale guidato dal principe nero. Contatti aveva altresì il generale Miceli con Lino Salvini, al quale aveva consentito di mettersi in contatto con lui sotto lo pseudonimo di "dottor Firenze". Questi dati, unitariamente considerati, vanno letti in parallelo con la successiva inerzia del generale nei confronti delle indagini sul Fronte Nazionale, condotte dal reparto D guidato dal generale Maletti. Con questi il Miceli entrò poi in contrasto, avendo richiesto lo scioglimento del nucleo operativo facente capo al capitano La Bruna; e va a tal proposito sottolineata la svalutazione che il direttore del SID faceva dei risultati investigativi raggiunti sul golpe, come non mancò di esternare all'onorevole Andreotti e all'ammiraglio Henke. Gli elementi conoscitivi indicati, che non esauriscono di certo una situazione oggetto di una contrastata vicenda giudiziaria, debbono essere a questo punto del discorso inquadrati nell'ambito delle considerazioni alle quali siamo pervenuti analizzando il rapporto tra Gelli ed i Servizi segreti. Il dato relativo all'appartenenza di Licio Gelli a quegli ambienti va considerato alla luce delle successive attività che vedono il Venerabile impegnato a venire in soccorso degli imputati, svolgendo un'azione che si muove significativamente in perfetta sintonia con la documentata inerzia del Direttore del SID. Il minimo che si possa dire è che questi non sembra aver seguito con particolare accanimento le indagini sul Fronte Nazionale, pur avendo avuto contatti diretti con i suoi massimi dirigenti. Contatti che peraltro egli aveva giustificato proprio con la necessità di acquisire informazioni, nella sua veste di dirigente di apparati informativi. E’ del pari in tale prospettiva che vanno valutate sia le diffuse convinzioni maturate nell'ambiente golpista sul ruolo di Licio Gellí, quale cerniera di raccordo con gli ambienti militari, che il risentimento maturato per il fallimento dell'operazione. Come si vede, anche muovendo da questa situazione l’analisi ci conduce alla figura di Licio Gelli, al suo ruolo di elemento intrinseco ai Servizi, come del resto riteneva il De Felice, ma soprattutto alla individuazione della Loggia P2 come struttura nella quale ed attraverso la quale si intrecciano rapporti e si stabiliscono collegamenti la cui ortodossia lascia ampi margini di dubbio, anche accedendo alla più benevola delle valutazioni. Elementi di estremo interesse ai nostri fini emergono poi dalla inchiesta condotta dal giudice Tamburino di Padova sul movimento denominato Rosa dei Venti, nel quale troviamo la presenza di uomini iscritti al "Raggruppamento Gelli", secondo quanto affermato dall'ispettore Santillo nelle sue note informative. Venivano in tali documenti considerati come appartenenti all'organizzazione gelliana il generale Ricci, Alberto Ambesi e Francesco Donini. L'inchiesta sulla "Rosa dei Venti" si segnala peraltro alla nostra attenzione per due testimonianze raccolte dal giudice patavino che rivestono per noi un sicuro interesse se poste in relazione ad altri elementi conoscitivi emersi nel corso del nostro lavoro. Va ricordato in primo luogo che il giornalista Giorgio Zicari ha testimoniato di aver collaborato con l'Arma dei carabinieri e con i Servizi segreti, entrando in contatto nel 1970 con Carlo Fumagalli e Gaetano Orlando, elementi di spicco del gruppo dei MAR, ed ottenendo da costoro informazioni per i detti apparati investigativi. Quando nel 1974 lo Zicari venne riservatamente convocato dal giudice Tamburino, gli accadde di ricevere nel giro di poche ore l'invito ad un colloquio con il generale Palumbo nel corso del quale l'alto ufficiale ebbe ad esprimersi nei seguenti termini: "...il tema centrale fu che io non dovevo parlare, che poteva succedermi qualcosa, dei fastidi, che io avevo tutto da perdere dalla vicenda, che i magistrati stavano tentando di sostituirsi allo Stato, riempendo un vuoto di potere, che non si sapeva che cosa il giudice Tamburino volesse cercare, che non ero obbligato a testimoniare...". Questa iniziativa del generale Palumbo viene a collocarsi in modo preciso a sostegno della già ricordata osservazione del generale Dalla Chiesa sulla collaborazione non particolarmente motivata degli ambienti della divisione Pastrengo nell’azione che il generale conduceva contro il terrorismo. Va altresì rilevato che l'atteggiamento del generale Palumbo riporta alla nostra attenzione il tipo di risposta che l'ammiraglio Casardi, direttore del SID, forniva ai giudici che indagavano sulla strage dell'Italicus quando si rivolsero al Servizio per ottenere notizie su Licio Gelli, ottenendo un rinvio alle notizie apparse sulla stampa. Sempre nel corso del 1974 il giudice Tamburino raccolse alcuni riferimenti testimoniali sul cosiddetto SID parallelo, il cui procedimento si chiuse infine con la richiesta di archiviazione formulata dal Procuratore della Repubblica di Roma, accolta dal giudice istruttore in data 22 febbraio 1980. E’ di particolare interesse, nel contesto di tali deposizioni, quanto ebbe a dichiarare il generale Siro Rossetti, uscito nel 1974 dalla Loggia P2 in posizione polemica nei confronti di Licio Gelli. L'alto ufficiale in ordine al problema dell'esistenza di un'organizzazione parallela ai Servizi affermò: "...la mia esperienza mi consente di affermare che sarebbe assurdo che tutto ciò non esistesse..." ed ancora "...a mio avviso l'organizzazione è tale e talmente vasta da avere capacità operative nel campo politico, militare, della finanza, dell’alta delinquenza organizzata...". Questa descrizione letta oggi sulla base delle conoscenze acquisite in ordine alla Loggia P2, non può non porsi per noi quale motivo di seria riflessione, soprattutto quando si ponga mente alla sua provenienza da parte di un elemento che conosceva la loggia direttamente dall'interno e che professionalmente si occupava di servizi di informazione. Passando ad altro argomento di ben più impegnativo rilievo, ricordiamo che i gruppi estremistici toscani compirono parecchi degli attentati (specialmente ai treni) che funestarono l'Italia tra il 1969 e il 1975. Il generale Bittoni (P2), comandante la brigata dei Carabinieri di Firenze, iniziò a svolgere indagini, cercando di dare impulso all'inchiesta e di coordinare le ricerche dei comandi di Perugia e di Arezzo. L'impegno degli ufficiali aretini si rivelò, peraltro, del tutto insufficiente, come ebbe a lamentare lo stesso Bittoni e come risulta dalle deposizioni dei sottufficiali. Rilevato come ben due degli ufficiali superiori del comando di Arezzo incaricati delle indagini facessero parte della Loggia P2 (uno di essi parlò della relativa iscrizione come di una "necessità") e che Gelli rivolse al generale Bittoni discorsi sufficientemente equivoci da provocarne una accesa reazione, non sembra azzardato mettere in rapporto di causa ed effetto l’infiltrazione della Loggia nell'Arma e l'insufficienza dell'indagine. A questo si aggiunga che analoga situazione si verificava per la questura della stessa città, essendosi potuta accertare l'iscrizione alla Loggia non solo di due dei suoi funzionari, ma addirittura del questore pro tempore. Anche in tal caso appare legittimo mettere in rapporto di causa ed effetto il fenomeno di infiltrazione piduista con disfunzioni "mirate": così, ad esempio, nel caso della informativa su Gelli e Marsili e sui rapporti del primo con il gruppo Sogno e Carmelo Spagnuolo, richiesta dal giudice istruttore di Torino alla questura di Arezzo e mai ottenuta. Fu rinvenuta, però, tra le carte di Castiglion Fibocchi copia dello scritto anonimo che aveva sollecitato alla richiesta i giudici torinesi: il Venerabile era stato quindi tempestivamente informato ed aveva potuto predisporre le sue difese. In definitiva, sembra potersi concludere sul punto che le infiltrazioni piduistiche ad Arezzo nella Polizia e nei Carabinieri (ed il sospetto di infiltrazione anche nella magistratura, come si vedrà in seguito) servirono in quegli anni a conferire al Gelli un'aura di intangibilità, lasciandogli mano libera per tutte le proprie - non certo lecite - attività. Un discorso a parte merita, poi, la strage perpetrata con la collocazione di un ordigno esplosivo sul treno Italicus, ordigno esploso nella notte fra il 3 ed il 4 agosto 1974. I fatti relativi sono stati già giudicati in primo grado dalla corte d'assise di Bologna con sentenza assolutoria dubitativa che, pur se non passata in cosa giudicata, costituisce per la Commissione doveroso - anche se non esclusivo - punto di' riferimento. Le istruttorie di una Commissione di inchiesta e quelle dell'autorità giudiziaria penale hanno infatti la comune caratteristica di utilizzare prove storiche e prove critiche per giungere, attraverso un processo logico esternato di libero convincimento, a determinate conclusioni. Gli elementi differenziali riguardano invece l'oggetto e lo scopo dell'indagine. Quanto al primo occorre rilevare che la giustizia penale ha come limite di accertamento realtà oggettivate od oggettivabili, mentre la Commissione parlamentare può (e deve) tener conto anche di più soggettive emergenze come modi di pensare, opinioni e convincimenti diffusi(1). Quanto al secondo appare evidente che, mentre la giustizia penale ha un compito di accertamento strumentale rispetto ad affermazioni di responsabilità personali, la Commissione ha invece quello di un accertamento funzionalizzato ad un più puntuale futuro esercizio dell'attività legislativa, e in esso vi è dunque spazio per affermazioni di responsabilità che siano di tipo morale o politico, secondo la natura propria dell'istituto. Tanto doverosamente premesso ed anticipando le conclusioni dell'analisi che ci si appresta a svolgere, si può affermare che gli accertamenti compiuti dai giudici bolognesi, così come sono stati base per una sentenza assolutoria per non sufficientemente provate responsabilità personali degli imputati, costituiscono altresì base quanto mai solida, quando vengano integrati con ulteriori elementi in possesso della Commissione, per affermare:
che la strage dell'Italicus è ascrivibile ad una organizzazione terroristica di ispirazione neofascista o neonazista operante in Toscana; che la Loggia P2 svolse opera di istigazione agli attentati e di finanziamento nei confronti dei gruppi della destra extraparlamentare toscana; che la Loggia P2 è quindi gravemente coinvolta nella strage dell'Italicus e può ritenersene anzi addirittura responsabile in termini non giudiziari ma storico-politici, quale essenziale retroterra economico, organizzativo e morale. Gioverà a tal fine riportarsi direttamente agli accertamenti giudiziari. Già nella sentenzaordinanza bolognese di rinvio a giudizio (14. 4. 1980) si leggeva: "Dati, fatti e circostanze autorizzano l'interprete a fondatamente ritenere essere quella istituzione (la Loggia P2 n.d.r.), all'epoca degli eventi considerati, il più dotato arsenale di pericolosi e validi strumenti di eversione politica e morale: e ciò in incontestabile contrasto con le proclamate finalità statutarie dell'istituzione". Più puntualmente nella sentenza assolutoria d'Assise 20.7.1983-19.3.1984 si legge (i numeri tra parentesi indicano le pagine del testo dattiloscritto della sentenza): "(182) A giudizio delle parti civili, gli attuali imputati, membri dell'Ordine Nero, avrebbero eseguito la strage in quanto ispirati, armati e finanziati dalla massoneria, che dell'eversione e del terrorismo di destra si sarebbe avvalsa, nell'ambito della cosiddetta "strategia della tensione" del paese creando anche i presupposti per un eventuale colpo di Stato. La tesi di cui sopra ha invero trovato nel processo, soprattutto con riferimento alla ben nota Loggia massonica P2, gravi e sconcertanti riscontri, pur dovendosi riconoscere una sostanziale insufficienza degli elementi di prova acquisiti sia in ordine all'addebitalità della strage a Tuti Mario e compagni, sia circa la loro appartenenza ad Ordine Nero e sia quanto alla ricorrenza di un vero e proprio concorso di elementi massonici nel delitto per cui è processato". Significativamente, poi, si precisa in proposito: " (183-184) Peraltro risulta adeguatamente dimostrato:
come la Loggia P2, e per essa il suo capo Gelli Licio (dapprima "delegato" dal Gran Maestro della famiglia massonica di Palazzo Giustiniani, poi - dal dicembre 1971 - segretario organizzativo della Loggia, quindi - dal maggio 1975 - Maestro Venerabile della stessa), nutrissero evidenti propensioni al golpismo; come tale formazione aiutasse e finanziasse non solo esponenti della destra parlamentare (all'udienza in data 27.10.1982 il generale Rosseti Siro, già tesoriere della Loggia, ha ricordato come quest'ultima avesse, tra l'altro, sovvenzionato la campagna elettorale del "fratello" ammiraglio Birindelli), ma anche giovani della destra extraparlamentare, quanto meno di Arezzo (ove risiedeva appunto il Gelli); come esponenti non identificati della massoneria avessero offerto alla dirigenza di Ordine Nuovo la cospicua cifra di L. 50 milioni al dichiarato scopo di finanziare il giornale del movimento (vedansi sul punto le deposizioni di Marco Affatigato, il quale ha specificato essere stata tale offerta declinata da Clemente Graziani); come nel periodo ottobre-novembre 1972 un sedicente massone della "Loggia del Gesù" (si ricordi che a Roma, in Piazza del Gesù, aveva sede un'importante "famiglia massonica" poi fusasi con quella di Palazzo Giustiniani), alla guida di un'auto azzurra targata Arezzo, avesse cercato di spingere gli ordinovisti di Lucca a compiere atti di terrorismo, promettendo a Tomei e ad Affatigato armi, esplosivi ed una sovvenzione di L. 500.000". Aggiunge significativamente il magistrato: "appare quanto meno estremamente probabile" - si legge a pag. 193 - che anche tale "fantomatico massone appartenesse alla Loggia P2". La conclusione, su questo punto corre - significativamente - come segue: "(194) Peraltro tali importanti dati storici non sembrano ulteriormente elaborabili ai fini della costruzione di una indiscutibile prova di colpevolezza dei prevenuti circa la strage del treno Italicus". La statuizione - che non spetta alla Commissione valutare - appare ispirata al principio di personalità della responsabilità penale ed a quello di presunzione di innocenza: letta in controluce e con riferimento alla responsabilità storico-politica delle organizzazioni che stanno dietro agli esecutori essa suona ad indiscutibile condanna della Loggia P2. Una condanna rafforzata dalle enunciazioni contenute nella prima parte della sentenza ove si esterna il convincimento del giudice sulla matrice ideologica ed organizzativa dell'attentato, una matrice ovviamente irrilevante in sede penale finché non si individuino mandanti, organizzatori od esecutori ma preziosa in questa sede. Scrivono ancora, infatti, i giudici bolognesi: "(13-14) Premesso doversi ritenere manifesta la natura politica dell'orrendo crimine di che trattasi (anche in assenza di inequivoche rivendicazioni), data la natura dell'obiettivo colpito e la gravità delle prevedibili conseguenze della strage sul piano della pacifica convivenza civile (fortunatamente poi risultate assai modeste per la “tenuta” della collettività) e dato l'inserimento dell'attentato in un contesto di analoghi crimini politici verificatisi in Italia negli anni 1974-1975 (si pensi alla strage di Piazza della Loggia ed alle bombe di Ordine Nero)"; ed ancora: "(15) è pacifica l'immediata ascrivibilità del fatto ad un'organizazzione terroristica che intendeva creare insicurezza generale, lacerazioni sociali, disordini violenti e comunque (nell'ottica della cosiddetta strategia della tensione) predisporre il terreno adatto per interventi traumatici, interruttivi della normale, fisiologica e pacifica evoluzione della vita politica del Paese. Ebbene, non è dubbio che, nel variegato quadro delle organizzazioni terroristiche operanti in Italia negli anni in cui fu eseguito il crimine al nostro esame, l'impiego delle bombe e la loro collocazione preferenziale su obiettivi "ferroviari" caratterizzasse, usualmente, gruppi di ispirazione neofascista e neonazista (si ricordino gli attentati sulla linea ferroviaria Roma-Reggio Calabria in occasione dei disordini di Reggio Calabria e dei successivi raduni, il mancato attentato in cui venne ferito Nico Azzi, l'attentato di Vaíano, rivendicato dalle Brigate Popolari Ordine Nuovo, gli attentati dicembre 1974-gennaio 1975, per cui furono condannati dalla corte di assise di Arezzo proprio Tuti e Franci) e che fra tali gruppi debba annoverarsi come già vivo e vitale, nell'agosto 1974, quello ricomprendente Tuti e Franci". Concludono peraltro malinconicamente i giudici bolognesi con la constatazione di un limite invalicabile alla loro indagine, costituito dal fatto che "l'imputazione riguarda solo esecutori materiali e non, ahimè, lontani mandanti". Già tanto potrebbe bastare per legittimare le conclusioni sopra anticipate. A ciò si aggiunga che sospetti di protezione dell'ultra-destra eversiva gravano su ben individuati uffici della magistratura aretina. Persino la sentenza di Bologna (pag. 191) ne riferisce, confermando il convincimento degli eversori neri di poter contare sull'importante protezione di un magistrato affiliato ad una potentissima loggia massonica, e risultano agli atti dichiarazioni assai gravi relative ad autorizzazioni di intercettazioni telefoniche non concesse ed ordini di cattura non emessi(2). Il dato - al di là di responsabilità individuali su cui non è questa la sede per disquisire – è dimostrativo di una di quelle "opinioni" o "stati d'animo" significativi - fondati o meno che siano - che legittimamente una commissione d'inchiesta accerta e da cui altrettanto legittimamente trae motivi di convincimento. Le affermazioni dei giudici competenti vanno adesso riportate alle conoscenze proprie della Commissione ed in particolare a due dati di conoscenza emersi con particolare significato in questa relazione. Il primo è che la pista della Loggia P2 e di Licio Gelli fu seguita in fase istruttoria dai magistrati bolognesi che indagavano sulla strage dell'Italicus e che chiesero notizie in proposito al SID: il Servizio, che, come ben messo in risalto in altra parte della relazione, era assai più che documentato in proposito, altra risposta non forni se non quella, già ricordata, di nulla sapere riportandosi a quanto diffuso dalla stampa. Secondo elemento di estremo interesse è quello riguardante i rapporti fra l'Ispettorato antiterrorismo ed i già ricordati ambienti della magistratura aretina. Il commissario De Francesco che, per incarico di Santillo, seguiva la pista piduistica di Arezzo, in stretta collaborazione con i magistrati bolognesi, ebbe uno scontro violentissimo con un magistrato aretino che lo accusò – convocandolo in questura nel cuore della notte - di violare il segreto istruttorio(3). L'incidente, che comprometteva in loco i rapporti tra magistratura e polizia, condusse al richiamo a Roma del commissario De Francesco da parte di Santillo per ordine superiore (cfr. deposizione del De Francesco al dott. Persico 9-6-1981), con conseguente accantonamento di una "pista" pur così sagacemente fiutata dal capo dell'antiterrorismo. Non è difficile vedere sulla base degli elementi sinora riportati come le considerazioni svolte dai giudici bolognesi si pongano in piena armonia con le conclusioni alle quali il presente lavoro è pervenuto in altra sezione. Non è chi non veda infatti che, ricondotte ad un singolo episodio concreto quale quello in esame, le affermazioni prima argomentate trovano puntuale conferma. Emerge infatti che in primo luogo venne dai Servizi negata ai giudici bolognesi la conoscenza delle notizie su Licio Gelli che essi detenevano e che nei loro confronti venne attivato quel cordone sanitario informativo le cui ragioni abbiamo prima individuato, e che adesso vediamo operante nei confronti del giudice inquirente che indagava sul caso dell'Italicus. Appare in secondo luogo che il filone investigativo Gelli-Loggia P2 venne anche in questo caso specifico individuato dall'unico apparato investigativo - l'ispettore Santillo - che autonomamente arrivò ad intuire il valore di questa organizzazione e del suo capo perseguendola con costanza nel tempo. Quanto sopra esposto ci mostra che, alla certezza raggiunta dai giudici bolognesi sul coinvolgimento piduista nella strage dell'Italicus attraverso prove storiche, si aggiungono i risultati ai quali la Commissione è pervenuta attraverso prove critiche tutte gravi, precise, concordanti e che quella certezza già acquisita, quindi, corroborano ed arricchiscono di particolari. Nel periodo compreso tra la fine del 1973 ed il marzo del 1974 viene ad evidenziarsi un'altra iniziativa nella quale si trovano coinvolti uomini risultati iscritti alla P2 o indicati, nella più volte ricordata relazione Santillo del 1976, come aderenti alla stessa quali Edgardo Sogno, Remo Orlandini, Salvatore Drago e Ugo Ricci. Dai documenti in nostro possesso si può avanzare l'ipotesi che il gruppo facente capo a Sogno, pur non ignorando le iniziative più tipicamente eversive, abbia sviluppato sin dalla fine degli anni Sessanta, per proseguire nella prima metà degli anni settanta, una linea più legalitaria, che però muove sempre dalle premesse di un grave pericolo delle istituzioni provocato dagli opposti estremismi e dalla incapacità delle forze politiche di farvi fronte. Tale linea quindi si pone gli obiettivi di realizzare riforme anche costituzionali e mutamenti degli equilibri - politici al fine di dare vita ad un governo forte e capace di resistere alle minacce incombenti sul, paese. Possono citarsi in questo contesto la costituzione dei Comitati di resistenza democratica sorti nel 1971 per iniziativa di Edgardo Sogno e le proposte avanzate nei periodici Resistenza democratica e Progetto 80. Quello che più interessa ai fini della nostra indagine è che la complessa tematica legata al gruppo Sogno, le proposte di riforme costituzionali avanzate, come pure, in parte, la strategia adottata, rivelano punti di contatto con il Piano di rinascita democratica e la strategia di Gelli dopo il 1974. Ricordiamo infine che nella busta "Riservata personale" che Gelli custodiva a Castiglion Fibocchi era custodita copia di un anonimo, per il quale ci fu richiesta di informativa su Gelli inviata alla questura di Arezzo nel marzo del 1975 dal giudice Violante che indagava sulla eversione di destra. Nell'anonimo leggiamo tra l'altro: "Il Gelli sembra inoltre collegato al gruppo Sogno e ad altri ambienti che fanno capo all'ex procuratore Spagnuolo oltre che ad ambienti finanziari internazionali". Un'ultima notazione sul delitto del giudice Occorsio, il quale avrebbe iniziato ad investigare sui possibili collegamenti tra l'Anonima sequestri ed ambienti massonici ed ambienti dell'eversione. Tale almeno fu la confidenza che Occorsio fece ad un giornalista il giorno prima di essere, ucciso. Per quanto a nostra conoscenza il questore Cioppa, iscritto alla Loggia P2, ha dichiarato alla Commissione di aver incontrato Licio Gelli nell'anticamera del giudice Occorsio, due giorni prima dell'omicidio del magistrato. L'esito dell'istruttoria relativa esclude collegamenti tra la Loggia P2 ed il delitto; rimane peraltro da spiegare per quale motivo il giudice avesse convocato il Gelli, secondo il dato in nostro possesso.
NOTE:
Corte costituzionale, sentenza 231/75 Deposizioni Cherubini e Carlucci. Vedasi anche deposizione Filastò 3 luglio 1981 resa al dott. Cappelli della Procura della Repubblica di Arezzo Vedansi la deposizione Zanda 23 novembre 1982 al sostituto procuratore della Repubblica di Bologna e Carlucci 10 febbraio 1982 alla Assise di Bologna, per non citarne che due http://www.strano.net/stragi/tstragi/relmp2/rel14p2.htm ------------------------------------------------------------- I RAPPORTI INTERNAZIONALI Lo studio dei rapporti internazionali della Loggia P2 e dell'attività di Licio Gelli in tale contesto non può che essere di circoscritte dimensioni in considerazione della difficoltà, per non dire della impossibilità, per la Commissione, di indagare su queste situazioni che trovano sviluppo al di fuori delle frontiere nazionali. Né si può sottacere che la presenza di Licio Gelli in paesi stranieri non ha lasciato praticamente traccia, con riferimento evidentemente al periodo antecedente al sequestro di Castiglion Fibocchi, presso gli archivi delle nostre ambasciate, nonostante di essa esistano numerose ed autorevoli testimonianze che tutte convergono ad indicare l'intrinseca dimestichezza di questo cittadino italiano con personaggi stranieri di altissimo livello politico. Muovendo da queste premesse, la Commissione è in grado di affermare, in base ai documenti ed alle testimonianze in suo possesso, che il rilievo dell'attività internazionale del Maestro Venerabile è di segno certamente non inferiore a quello della sua presenza italiana, anche se l'analisi di questo versante della sua personalità non può essere in pari modo approfondito per le oggettive ragioni già indicate. Si pone in primo luogo, come dato di sicura constatazione, che Licio Gelli pervenne ad inserire l'organizzazione da lui guidata in più ampio contesto organizzativo di respiro internazionale. Rilievo questo che si pone del resto in armonia con la natura in certo qual senso internazionale della massoneria, la quale, come abbiamo già rilevato, aspira a porsi e concretamente si muove come un'organizzazione che, assumendo a sua base premesse filosofiche di portata generale, tende a stabilire legami fra gli affiliati che travalicano le frontiere. Nell'ambito di questa dimensione sovranazionale, Licio Gelli appare interessato a due iniziative la cui esistenza è documentata in modo certo. La prima è la cosiddetta Loggia di Montecarlo, per la cui esistenza la Commissione è in possesso di scarsi, ma inequivocabili elementi documentali. E’ agli atti un modulo di iscrizione (le indicazioni sono in tre lingue e cioè nell'ordine: inglese, francese ed italiano), per un Comitato esecutivo massonico che aveva sede nel Principato di Monaco e che dal contestuale riepilogo delle finalità associative risulta porsi come una sorta di organizzazione di livello superiore rispetto alle tradizionali strutture massoniche. La finalità reale dell'organismo traspare dal documento, pur condito dagli abituali generici richiami a superiori motivazioni, nel quale è dato leggere: "...scopo è quello di realizzare...una forza di governo universale..." ed ancora: "...La Massoneria è l'organismo più qualificato a governare, perciò se non governa manca alla sua vera ragion d'essere...". Schede di iscrizione già compilate e corrispondenza agli atti dimostrano che il Comitato di Montecarlo ebbe pratica attuazione, superando la fase progettuale; ma non ci è dato di sapere quale consistenza esso venne a raggiungere. In sede interpretativa si può affermare che esso si pose certamente come un momento qualificante dell'operazione piduista; e particolare interesse suscita la circostanza che ad esso Licio Gelli pose mano in quel periodo, alla fine degli anni Settanta, che abbiamo indicato come contrassegnato da un inizio di incrinamento del potere del Venerabile Maestro. In questa prospettiva l'iniziativa di creare una organizzazione posta a ridosso dei confini nazionali, ma al di fuori della portata delle autorità italiane, potrebbe inserirsi come elemento di arricchimento e conferma al quadro delineato. Altra iniziativa di respiro internazionale è quella dell'ONPAM, una istituzione a carattere sovranazionale rivolta con particolare riferimento ai paesi dell'America latina, la cui esistenza è documentata in modo certo e il cui significato appare, allo stato degli atti, ancor più difficile da interpretare. La Commissione è in possesso di una tessera intestata a Roberto Calvi, rilasciata nel 1975 e sottoscritta da Licio Gelli in qualità di Segretario. Si ha inoltre notizia che al Gamberini era stato affidato il compito di tenere i contatti tra l'organizzazione ed il Grande Oriente. Risulta che di questa organizzazione esiste ampia documentazione nel materiale sequestrato presso la villa uruguaiana di Licio Gelli e certo la sua conoscenza aprirebbe squarci di notevole interesse su tutta la vicenda della Loggia P2, la cui dimensione internazionale, una volta conosciuta in modo meno sommario, consentirebbe una valutazione più completa del valore politico di questa organizzazione, che del resto era stato intuito dall'ispettore Santillo nella sua terza nota informativa. Appare infine dalla documentazione che il Venerabile della Loggia P2 godeva egli stesso di un prestigio internazionale proprio nell'ambiente massonico. Non solo egli era infatti tramite dei rapporti tra la massoneria italiana e quella argentina, ma già nel 1968 appare accreditato presso il Grande Oriente quale garante di amicizia di una loggia estera, elemento questo che conferma la precocità della carriera massonìca di Licio Gelli, ampiamente analizzata nel capitolo primo. L'attività personale di Licio Gelli del resto appare sicuramente documentata come ampiamente proiettata fuori dell'Italia, attraverso una fitta rete di contatti, anche esterni alla massoneria, tutti di alto livello per il rango delle personalità con le quali il Venerabile intratteneva rapporti. In questo senso l'epistolario rinvenuto apre uno spaccato, parziale ma efficace, delle relazioni che Licio Gelli intratteneva con un’opera di conntinuo contatto e costante aggiornamento; ne emerge il ritratto di un accorto professionista nell'arte dei rapporti sociali, comunque non certo confinabile all'interpretazione di uno spregiudicato arrampicatore sociale, come dal tono generale delle lettere si evince in modo non equivoco. L'ambito di interessi di Licio Gelli appare in questo panorama rivolto eminentemente ai paesi d'oltre Atlantico. Sicure e documentate sono le relazioni di Gelli con i paesi del Sudamerica ed in particolare l'Argentina, paese nel quale egli era in relazione con l'ammiraglio Massera, ma soprattutto con Peron e il suo entourage, nel quale grande rilievo aveva Lopez Rega, interessato anch’egli alla iniziativa dell'ONPAM. Giancarlo Elia Valori(1), iscritto alla Loggia P2 e da questa espulso, ha testimoniato di aver ricevuto una confidenza del Presidente Frondizi, che si domandava quale ruolo un privato cittadino svolgesse per i Servizi segreti italiani ed argentini. In proposito di estremo interesse è la deposizione del generale Grassini, Direttore del SISDE, il quale davanti alla Commissione ha dichiarato: "...Non avevamo nessun rapporto con i Servizi dell'America latina...Sapendo bene che Gelli aveva grandissime possibilità per quanto riguarda l'Argentina, gli chiesi se mi poteva mettere in contatto con gli argentini. Egli aderì a questa richiesta e l'indomani mattina puntualmente il Capo del Servizio argentino in Italia, all'Ambasciata argentina in Italia, si presentò nel mio ufficio, dicendosi pronto a collaborare per qualsiasi cosa. Da quel momento nacque un contatto perenne e continuo tra il nostro Servizio e il Servizio argentino, che si impegnò anche a fare da tramite tra noi ed i Servizi degli altri paesi dell'America latina dove erano stati segnalati dei fuoriusciti, fu impostato quindi un sistema idoneo per la ricerca di questi fuoriusciti". Si ricorda al proposito che Gelli ricopriva un incarico ufficiale presso l'Ambasciata argentina in Italia in qualità di consigliere economico e in tale veste intratteneva rapporti con autorità italiane, in particolare in occasione di visite di Stato. Altra importante direttrice degli interessi di Licio Gelli è costituita dagli Stati Uniti, per ì quali appare accertato un solido legame con Philip Guarino in relazione alla vicenda Sindona. Gelli si mette a disposizione di Guarino, membro del comitato organizzatore della campagnia elettorale del Presidente Reagan, e da questi viene invitato all'insediamento del nuovo Presidente americano. Certo è che, come la vicenda degli affidavit raccolti in favore di Sindona ampiamente dimostra, Licio Gelli era in contatto con gli ambienti politici e finanziari che costituivano il retroterra del finanziere siciliano con una rete di rapporti di livello altamente qualificato. La componente affaristica, assolutamente da non sottovalutare nella interpretazione del personaggio Gelli, non gli impediva peraltro di avere contatti con la Romania, paese con il quale l'azienda di Gelli aveva instaurato un importante rapporto di collaborazione produttiva. Gli elementi esposti, pur nella loro sommarietà, consentono alla Commissione di affermare che la dimensione del personaggio Gelli, sotto il profilo indagato, è certamente di peso non minore rispetto a quello pure rilevante già documentato con riferimento al nostro Paese. Se l'articolazione dei rapporti e delle conoscenze è necessariamente conosciuta, allo stato degli atti, in modo sommario, quello che appare sicuro in questo contesto è non solo il rilievo assunto dal Venerabile della Loggia P2, ma soprattutto, oltre la dimensione affaristica pur rilevante, il valore politico indubitabile che le relazioni intrattenute denunciano. NOTE: Uscito indenne dalla tempesta della P2, ricoprirà incarichi importanti nell’amministrazione pubblica, fino a diventare presidente della Società Autostrade. (La nota è nostra) http://www.strano.net/stragi/tstragi/relmp2/rel20p2.htm -------------------------------------------------------------- LA LOGGIA P2 E IL MONDO POLITICO Dall'esame delle liste di Castiglion Fibocchi risulta che in esse sono ricompresi 36 membri del Parlamento, più un certo numero di ex parlamentari e di esponenti politici di rilievo locale, nonché personaggi che, se in apparenza sembrano porsi in posizione marginale rispetto al mondo politico propriamente detto, potevano in realtà essere di grande aiuto per i disegni e le attività della loggia, quali appunto segretari personali e capi di gabinetto di Ministri. Particolare questo da non trascurare, come ha sottolineato il Commissario Andò, perché dimostra l'esistenza di un disegno di penetrazione che identificava determinate situazioni da occupare in ogni modo, quale che fosse il livello al quale si riusciva a pervenire. L'area degli appartenenti al mondo politico iscritti alla Loggia P2 raggruppa in totale meno di un centinaio di nominativi, tra i quali è dato trovare anche figure di primo piano che ricoprivano incarichi di rilievo quali ministro, segretario di partito, capogruppo parlamentare, responsabile di importanti uffici di partito. La Commissione ha ascoltato membri ed ex membri del Parlamento, registrando una generale forma di diniego sull'appartenenza alla Loggia P2 - sola eccezione, quella dell'onorevole Cicchitto - sulla quale non si ritiene in questa sede di esprimere giudizio diverso da quello già formulato in via generale in ordine al problema della autenticità ed attendibilità degli elenchi. In conformità, infatti, alle premesse generali del presente lavoro, nessuna disamina particolare dei dati concernenti le varie iscrizioni è stata sin qui operata, né per singoli, né per categorie unitariamente considerate: analoga scelta viene quindi adottata, anche per evidenti ragioni dì parità di trattamento, per gli appartenenti al mondo politico, per nessuno dei quali si ritiene di entrare nel dettaglio della specifica posizione e che ai fini della nostra analisi consideriamo come iscritti alla Loggia P2, o comunque come rientranti nella sua orbita di influenza, secondo le conclusioni alle quali siamo pervenuti nel capitolo secondo. Coerentemente al metodo sinora seguito, cercheremo piuttosto di individuare e descrivere il fenomenoo dei rapporti tra Loggia P2 mondo politico propriamente detto, al fine di accertare se essi siano da interpretare all'insegna di un connotato specifico che ci porti a conclusioni di ordine più generale sulla loggia e sulla personale attività dì Licio Gelli; a tal fine rileviamo, come dato di prima evidenza, che emergono dagli atti alcuni episodi che sono accomunati dalla caratteristica di costituire vere e proprie forme di ingerenza e dì pressione nella vita dei partiti politici, attraverso contatti instaurati con dirigenti anche di primo piano. In questa direzione emblematica appare la vicenda che vede un iscritto alla Loggia P2, Giampiero Del Gamba, farsi latore, per conto di Gelli, di un messaggio intimidatorio diretto all'onorevole Piccoli. L'episodio è verosimilmente da porsi in connessione con la presa di posizione pubblicamente assunta dall'onorevole Piccoli, il quale alla fine dell'anno 1980 ebbe a denunciare l'esistenza di una congiura massonica; e testimonia in modo eloquente una determinazione di mezzi e tattiche adottate della quale possono essere forniti ulteriori esempi, anche di maggior respiro. E’ accertato infatti che vennero esercitate forti pressioni da parte del Salvini - non distinguibile, come abbiamo visto, nel suo operato dal Gelli sotto molti profili - nei confronti del partito repubblicano, in occasione dei congresso tenuto a Genova nel 1975. Il Salvini si fece promotore in quell'occasione di riunioni di massoni iscritti a tale partito sostenendo la necessità di formulare una linea di attacco all'onorevole La Malfa in sede congressuale. Le motivazioni dell'operato del Salvini sono verosimilmente da cercare nel ruolo determinante ricoperto dall'esponente repubblicano nella vicenda sindoniana quando, nella sua qualità di ministro del Tesoro, si era opposto all'aumento di capitale della FINAMBRO richiesto dal Sindona. L'episodio genovese costituisce una significativa controprova dei legami tra Gelli e Salvini da un lato, e tra Gelli e Sindona dall'altro, dimostrando che, alla bisogna, Gelli era in grado di mobilitare a tutela dei suoi interessi e delle sue operazioni non solo l'organizzazione da lui direttamente guidata, ma altresì i vertici del Grande Oriente estendendo, loro tramite e grazie la loro connivenza, la propria sfera di influenza ben oltre i limiti propri della loggia. Altri due episodi di ingerenza nella vita dei partiti sono quelli della scissione del MSI e del tentativo di creazione di un secondo partito cattolico. L'operazione di scissione del MSI, consumata dal gruppo di Democrazia Nazionale, sembra si possa collocare nell'ambito delle previsioni politiche formulate nel piano di rinascita democratica, nel quale si fa riferimento ai democratici della Destra Nazionale. L'operazione fu inizialmente proposta al Presidente dal partito, poi uscito dallo stesso nel 1974, onorevole Birindelli, che figura assieme ad altri membri del suo partito - rimasti nel MSI dopo la scissione - tra gli iscritti alla Loggia P2 e che ha ammesso, in sede di testimonianza giudiziaria, di aver non solo conosciuto il Gelli, ma di aver da questi ascoltato discorsi relativi alla opportunità di una "contrapposizione alla linea politica della segreteria, per poi arrivare alla scissione ed eventualmente alla promozione di un ampio gruppo nel quale avrebbero potuto convergere esponenti di altri partiti tra cui liberali e DC". Si deve in proposito sottolineare la coincidenza tra tale assunto e il piano di rinascita democratica, laddove si afferma: "...usare gli strumenti finanziari stessi per l'immediata nascita di due movimenti l'uno...e l'altro sulla destra (a cavallo fra DC conservatori, liberali e democratici della Destra Nazionale)". Sono queste indicazioni programmatiche che trovano puntuale riscontro, oltre che nella vicenda del MSI-Destra Nazionale, nell'operazione documentata dal fascicolo di intercettazioni, conosciuto sotto la sigla M.FO.BIALI, dal quale emerge una esauriente ricostruzione del tentativo di dar vita ad un secondo partito cattolico, di stampo conservatore, finanziato attraverso non chiare operazioni di importazione di greggio dalla Libia. L'operazione, attesa anche la qualità delle persone coinvolte, sembra scarsamente credibile nel suo complesso, ma va valutata nel contesto delle tecniche intimidatorie proprie della Loggia P2 ed interpretata, pertanto, piuttosto come un segnale di preciso contenuto politico diretto verso quel partito. Il documento, frutto di una operazione condotta dai Servizi segreti, meriterebbe una trattazione a parte, sia per la sorte riservatagli - finisce tra l'altro in mano al giornalista Pecorelli - sia per l'allarmante spaccato di corruzione e di infedeltà alle istituzioni (in esso sono pesantemente coinvolti ufficiali di rango superiore quali l'ex comandante generale della Guardia di Finanza, generale Giudice) che lascia intravedere. Ai nostri fini quello che preme rilevare è la documentazione di una operazione di preciso segno politico, puntualmente inquadrata in quella strategia di medio e lungo termine formulata dal piano di rinascita democratica. Secondo gli esempi documentali sinora illustrati, appare come, da parte della Loggia P2, si delinei un approccio nei confronti del sistema dei partiti che non recede dall'uso di mezzi di aggressione sia diretta - con l'esercizio di attività a carattere intimidatorio - sia indiretta, tentando la via dei condizionamento interno (ingerenza nella vita degli organi direttivi) ed esterno, attraverso la creazione di poli alternativi concorrenziali. L'onorevole Craxi ha del resto testimoniato alla Commissione che il Gelli – fattosi ricevere da lui all'inizio degli anni Ottanta – non si peritò di affermare di essere a capo di un'organizzazione in grado di influire sulla sorte del capo dello Stato. Questa affermazione si può collegare a quanto dichiarato dal senatore Leone alla Commissione e cioè di aver avvertito in varie occasioni, nell’esercizio del suo mandato di Presidente della Repubblica, un'azione di condizionamento sulle cui origini egli non aveva notizie sicure, ma che riteneva di poter far risalire ad ambienti dei Servizi segreti, rilevando che solo a posteriori ha potuto rendersi conto della presenza, intorno a lui, di persone non completamente affidabili. L'individuazione di questa metodologia non esaurisce peraltro l'analisi del fenomeno che vede, accanto ai mezzi di pressione indicati, modelli di ingerenza e di intromissione più suasivi, seppure di non minore efficacia. Così ad esempio è dato trovare tracce di attività di finanziamento a singoli esponenti politici nelle deposizioní di Angelo Rizzoli e Bruno Tassan Din che inducono a ritenere come la Rizzoli, soprattutto nell'ultimo tumultuoso periodo del suo intreccio con la Loggia P2, abbia in qualche modo adempiuto la funzione di centrale per operazioni di pubbliche relazioni nel confronti dell'ambiente politico. Una rappresentazione questa non priva di verosimiglianza, tenuto conto delle difficoltà nelle quali si dibatteva il gruppo e della portata dei disegni di espansione progettati ed attuati all'insegna di una operazione che, per i suoi connotati di immediata valenza politica, non poteva non suscitare l'attenzione della classe dirigente. Né mancano in atti documenti che ci illustrano attività di sostegno e di intervento in occasione di competizioni elettorali. Questa forma di esercizio di solidarietà è riferibile in primo luogo alla massoneria in via generale, come ci dimostrano le lettere rinvenute presso varie famiglie massoniche contenenti l'invito agli iscritti ad esprimere il loro voto preferenziale per i fratelli candidati. La generalità del fenomeno è rilevata in particolare dalla lettera con la quale il Gran Maestro di una famiglia di minore importanza, Vigorito, invita gli iscritti a votare per il Cosentino (indicato come grado 33), pur non risultando lo stesso agli atti come appartenente a quella famiglia. Può dirsi pertanto in armonia con una tendenza generalizzata e solidamente radicata nel costume massonico il Gelli quando ci appare come finanziatore della campagna elettorale di candidati democristiani e socialisti in Toscana. Va infine ricordato che la stessa opera di reclutamento operata nell'ambito dei partiti, testimoniata dagli elenchi, costituisce una indubbia forma di ingerenza la cui portata in ordine agli effetti non siamo in grado di valutare, ma la cui consistenza è dato di evidenza immediata. http://www.strano.net/stragi/tstragi/relmp2/rel21p2.htm http://members.xoom.virgilio.it/desnaz/DestraNazionale.htm
Sono stato sufficentemente chiaro? Vabbene per oggi basta cosí ciao a risentirci!
Movimento Anarko Insurrezionale .
http://italy.indymedia.org/news/2002/12/132366_comment.php#132428
inoltre sono questi i suoi veri resti mortali? Sesso anticattolico Cicciolina é stata candidata come deputata dal Partito Radicale Italiano ma ben pochi ne conoscono gli oscuri motivi e le ignare masse continueranno bovinamente a ignorarlo!La veritá é realmente sbigottente:sentitela dunque.I Radicali italiani hanno una forte tradizione politica ancorata alle ideologie gandhiane;il Mahatma Gandhi non fu un politico qualunque:egli infatti guidó l'India con un impeto ed una frenesia inaudite!Gandhi scrisse una opera titolata Gandhi commenta la Bhagavad Gita (publicata puntualmente dalla Edizione Mediterranee,come d'altronde usa fare con OGNI testo di una qualche TRADIZIONE SEGRETA!).Questo testo e molto Esoterico:é iniziatico pure! In india c'é il Tantrismo e la Magia Sessuale:i Massoni le hanno adottate entrambe ormai dalla fine del 1800 in forma pressoché uficiosa(oltre che ufficiale pure)ed é arci nota la filiazione di molti radicali,incluso lo stesso Marco Pannella,nei vertici della Massoneria di Piazza del Gesú(sí,hai capito bene,lo stesso luogo di dove il Veneralissimo Gran Maestro Del Grande Oriente dÍTALIA[TUTTO GRANDE!]Licio Gelli vendeva per mascherare la sua ILLECITA attivitá:niente di meno che materassi Permaflex!). Ma perché vi dico tutto questo? Dove voglio arrivare? I massoni per arrivare ad imporre i loro DOGMI DOTTRINARI ILLIBERALI ALQUANTO ECCENTRICI che sono una mescolanza di esoterismo ereticale reazionariamente anti cattolico d'Occidente + magia sessuale e Tantrismo d' Oriente(da qui la dicitura delle loro"scuole di pensiero" Gran Oriente dítalia,di francia,di inghilterra ecc,ecc.) tentano di arruolare gente come Ilona Staller (e magari trasformarla in DEPUTATI per poter diffondere il loro stile di vita alcuanto stravagante e farne pratica comune:ma non se ne deve accorgere proprio NESSUNO ! Cosí facendo riusciranno a minare il livello della morale e dell'etica dei loro rivali antichi ed acerrimi nemici:I CATTOLICI e la loro sacra istituzione pontificale !!!
E TI POSSO ASSICURARE CHE IO POSSO ESSERE CONSIDERATO QUALUNQUE COSA MENO CHE NAZISTA:SONO UN GIOVANE PIQUETERO CAZEROLERO FILO ANARCHICO ED ANCHE UN PÓ SPARTAKISTA E TROTZKYSTA, TI GARBA? QUI IN ARGENTINA tutti i partiti politici SENZA eccezzione alcuna ci hanno venduto alla logica degli intereSSi speculativi di stampo rapace delle multinazionali che di fatto....finanziano tutto lo spettro della politica indigena.
CIAO y hasta a siempre o patria o muerte caramba
nuovo ordine nero:la maSSoneria ebraica,ovvero il governo mondiale della sinarchia nazi fascista neo ill iberale conservatorial-repressiva borghese neo colonialista sionista angloamericana .........
Noi possiamo offrire una differente equazione: quello dell'uguaglianza!
Noi possiamo offrire un differente paradigma: quello dell'uguaglianza. Dopo tutto, il vero abisso non e' tra arabi ed ebrei; e' tra i nazisionisti ed il resto di noi. Gli attuali leaders di Israele hanno commesso orribili crimini di guerra ed hanno perso le ultime tracce di una qualche legittimita'. C'e' un bisogno urgente di di stabilire una nuova, legittima leadership per tutta la Palestina, secondo l'esempio dell'ANC sudafricano: una leadership che comprenda tutte le comunita' etniche e religiose di Palestina, una leadership che chiami i suoi cittadini a prendere le armi contro il sanguinario dittatore Sharon.
nazisraele "Ricordiamoci in che modo gli altri popoli ci hanno trattato e come ci trattano ancora dappertutto, come stranieri, come inferiori. Guardiamoci dal considerare e dal trattare quale cosa inferiore ciò che ci è estraneo e non abbastanza noto! Guardiamoci dal fare noi quello che ci è stato fatto".
Martin Buber, 1929
genocidio Ammettiamolo.Nell'apprendere le notizie che arrivano dai territori palestinesi, la parola che ci esce continuamente dalla bocca non è quella che ci viene per prima in mente. Tutt'al più la nostra lingua dice sterminio - distruzione o soppressione spietata e talvolta metodica di un gran numero di persone - mentre il nostro cervello pensa genocidio - metodica distruzione di un gruppo etnico, razziale o religioso, compiuta attraverso lo sterminio degli individui e l'annullamento dei valori culturali. Il genocidio è molto più dello sterminio. Ma questo è un termine che in qualche modo ci rifiutiamo di usare, perché un suo utilizzo in un contesto simile minerebbe alle fondamenta molte delle certezze su cui abbiamo costruito il nostro mondo, la sua quiete e la sua prosperità.
Come possiamo chiamare genocidio quello che sta intraprendendo il governo Sharon, dopo esserci detti e ripetuti tante volte che il genocidio è una atrocità del passato, frutto del peggiore oscurantismo, che non può trovare legittimità in una democrazia occidentale moderna (come è, in fin dei conti, quella di Israele)? E poi, essendo stati vittime del genocidio compiuto dai nazisti, avendo subìto infami persecuzioni, come possono oggi gli ebrei che si riconoscono in Israele indossare i panni dei carnefici e fare ad altri ciò che in passato sono stati costretti a subire? Tutto ciò si scontra con le nostre sicurezze, con il nostro bisogno di ordine, con la nostra stringente logica da ragionieri che determina la nostra quieta esistenza da ragionieri. La tranquillità del nostro sonno e dei nostri affari lo esige, la propaganda statale lo conferma: non c'è nessun genocidio in corso nei territori palestinesi, c'è sola una caccia senza quartiere nei confronti di crudeli terroristi che, per tragiche quanto fatali circostanze, si sta ripercuotendo duramente anche nei confronti della popolazione civile. Ma, se le cose stanno così, che dire del numero tatuato sui prigionieri palestinesi, agghiacciante riproposizione di una delle più nauseanti pratiche naziste? Che dire della distruzione di case e interi villaggi, anche questa praticata un tempo contro gli ebrei (nello specifico, dai soldati inglesi)? Che dire di tutti quei morti - bambini, donne, vecchi - che non possono rientrare di certo nello stereotipo mediatico del terrorista fanatico inneggiante alla guerra santa? Come si vede, non ci sono molte alternative di fronte al massacro in atto: o il silenzio del consenso, al tempo stesso risultato e garanzia della pace sociale, o l'interrogativo del dissenso. Ma questo interrogativo, se portato fino in fondo, fino alle sue estreme conseguenze, che cosa ci riserverà? Saremo in grado di ascoltare le risposte? ......... continua http://italy.indymedia.org/news/2002/11/118752.php http://www.italy.indymedia.org/news/2002/11/115153_comment.php#118763 http://www.italy.indymedia.org/news/2002/10/94056.php ------------------------------------------------------------------ Principali irresponsabili di stragi e guerre .... TUTTI GLI ESPONENTI POLITICI ITALIANI(DALL' ESTREMA DESTRA ULTRA FACISTA AGLI EXTRA PARLAMENTARI COMUNISTI TROTZKYSTI ANARCOIDI E PURE QUELLI DELL'OPUS DEI!SONO DI FATTO ISCRITTI IN QUALCHE GRANDE ORIENTE D'ITALIA;LEGGERE LISTA E POI EVENTUALMENTE RI-CREDERSI!).
... ma siamo davvero tutti sotto controllo occulto di gruppi politici di potere al soldo di organizzazioni MAFIOSE mondialiste .......
SI,HAI LETTO PROPRIO MOLTO,MA MOLTO BENE:BRAVO! ADESSO PERÓ CERCA ANCHE DI leggere bene: presta MOLTA della tua concentrazione!
Membri della loggia P2
TITOLO NOME CITTA' ATTIVO FASCICOLO TEN COL SERGIO ACCIAI FIRENZE IN SONNO 113 DOTT PIERLUIGI ACCORNERO VIARIGI ATTIVO 321 RAG GIACOMO AGNES ROMA ATTIVO 169 DOTT ENRICO AILLAUD ROMA ATTIVO 560 DOTT ALDO ALASIA BUENOS AIRES ATTIVO 150 DOTT GIOACCHINO ALBANESE ROMA ATTIVO 913 DOTT RAFFAELE ALBANO LA SPEZIA ATTIVO 286 CAP AMEDEO ALDEGONDI TORINO ATTIVO 425 TEN COL VITO ALECCI MILANO ATTIVO 789 MAGG GIUSEPPE ALEFFI PISA ATTIVO 762 DOTT ALESSANDRO ALESSANDRINI ROMA ATTIVO 728 AMM ACHILLE ALFANO LIVORNO ATTIVO 450 GEN GIOVANNI ALLAVENA ROMA ATTIVO 505 PROF CANZIO ALLEGRITI TORINO ATTIVO 94 PRINCIPE GIOVANNI ALLIATA DI MONTEREALE ROMA GRANDE ORIENTE 361 DOTT ITALO ALOIA COSENZA ATTIVO 173 SIG BRUNO ALPI ANCONA IN SONNO 426 DOTT ROBERTO AMADI MILANO ATTIVO 364 DOTT ANTONIO AMATO CAGLIARI ATTIVO 807 DOTT WILFRIDO AMBROSINI VERONA IN SONNO 112 AVV WALTER AMENDOLA BRASILE ATTIVO 615 DOTT ARISTIDE ANDREASSI ROMA IN SONNO 170 AVV LORIS ANDREINI MONTECATINI ATTIVO 417 DOTT MARIO ANDREINI VERONA ATTIVO 177 ON CLEMENT ANET BILE' COSTA D'AVORIO ATTIVO 765 DOTT FRANCO ANGELI MONTEVARCHI ATTIVO 153 DOTT ENNIO ANNUNZIATA ROMA ATTIVO 134 PROF FAUSTO ANTONINI ROMA ATTIVO 1 PROF GIULIANO ANTONINI ROMA ATTIVO 2 P E RENZO ANTONUCCI PISA ATTIVO 736 COL PIETRO AQUILINO PERUGIA IN SONNO 358 DOTT GIUSEPPE ARCADI REGGIO CALABRIA ATTIVO 3 DOTT ALDO ARCURI BENEVENTO ATTIVO 4 DOTT ROMOLO ARENA ROMA ATTIVO 848 DOTT GIACOMO ARGENTO ROMA ATTIVO 384 DOTT SERGIO ARGILLA LA SPEZIA ATTIVO 270 ON GIAN ALDO ARNAUD TORINO ATTIVO 726 DOTT CARLO ARNONE ARNONE ATTIVO 393 DOTT FRANCESCO ARONADIO ROMA ATTIVO 944 DOTT RENATO ASCHIERI MILANO ATTIVO 917 DOTT GIUSEPPE ATTINELLI PALERMO ATTIVO 942 ON ANGELO ATZORI ORISTANO ATTIVO 651 AVV ALFREDO AUBERT TORINO IN SONNO 287 COL MARIO AUBERT MILANO IN SONNO 427 SIG ALBERTO AUREGGI ROMA ATTIVO 727 DOTT JOSE' AVILA BRASILE ATTIVO 599 RAG VITTORIO AZZARI ROMA ATTIVO 171 RAG GILBERTO BACCHETTI FIRENZE ATTIVO 834 CAP VASCO BACCI SAN VITO ATTIVO 5 DOTT ENZO BADIOLI ROMA ATTIVO 581 DOTT FRANCESCO BAGGIO VICENZA ATTIVO 732 DOTT URIO BAGNOLI ROMA IN SONNO 6 TEN COL ENRICO BAIANO REGGIO EMILIA IN SONNO 175 SIG PIETRO BALDASSINI FIRENZE ATTIVO 394 CAP GIORGIO BALESTRIERI LIVORNO ATTIVO 907 DOTT GIORGIO BALLARINI FIRENZE ATTIVO 701 ON PASQUALE BANDIERA ROMA ATTIVO 114 DOTT GUIDO BARBARO TORINO ATTIVO 851 DOTT VITO BARBERA LIVORNO MORTO 182 RAG FRANCO BARDUCCI FIRENZE ATTIVO 702 GEN TOMMASO BARILE ROMA IN SONNO 420 DOTT GIOVANNI BARILLA' PALERMO ATTIVO 288 DOTT HIPPOLITO BARREIRO BUENOS AIRES ATTIVO 689 GEO GIOVANNI BARTOLOZZI FIRENZE ATTIVO 705 DOTT FEDERICO BARTTFELD BUENOS AIRES ATTIVO 479 ON ANTONIO BASLINI MILANO ATTIVO 483 DOTT GIUSEPPE BATTISTA ROMA ATTIVO 518 DOT ALBERTO BATTOLLA LA SPEZIA ATTIVO 800 AVV SALVATORE BELLASSAI PALERMO ATTIVO 289 AVV GIROLAMO BELLAVISTA PALERMO MORTO 7 DOTT DANILO BELLEI BOLOGNA ATTIVO 484 ING ENZO BELLEI ROMA IN SONNO 178 DOTT OTTORINO BELLI FIRENZE ATTIVO 229 DOTT MARIO BELLUCCI PERUGIA IN SONNO 174 ON COSTANTINO BELLUSCIO ROMA ATTIVO 540 PROF NELLO BEMPORAD FIRENZE ATTIVO 115 DOTT GIORGIO BENINATO ROMA ATTIVO 563 DOTT SILVIO BERLUSCONI MILANO ATTIVO 625 DOTT DOMENICO BERNARDINI FIRENZE ATTIVO 699 DOTT FRANCESCO BERNASCONI ROMA ATTIVO 155 CAP FR CARLO BERTACCHI ROMA ATTIVO 629 DOT GIUSEPPE BERTASSO TORINO ATTIVO 870 DOTT LUIGI BERTONI ROMA ATTIVO 179 DOTT MARIO BESUSSO ROMA MORTO 180 DOTT LUIS ALBERTO BETTI BUENOS AIRES ATTIVO 481 DOTT LODOVICO BEVILACQUA MILANO ATTIVO 877 DOTT ANGELO BIAGINI FIRENZE ATTIVO 700 ING LIVIO BIAGINI R
italy.indymedia.org/news/2002/12/133991.php
|
|
versione
stampabile | invia ad un amico
| aggiungi un
commento | apri un dibattito
sul forum |
|
|
UN CRIMINALE IMPRENDIBILE CONTRO LA GLOBALIZZAZIONE
|
|
by
Alberto Mingardaccio anti u$a Friday, Dec. 27, 2002 at 2:09 PM |
mail:
|
ccccc.gifug0myn.gif, image/png, 287x400
E' da sette anni che,soprattutto nelle zone di confine tra le regioni Veneto e Friuli Venezia Giulia,che"Unabomber"colpisce con ordigni lasciati in ogni dove. UN CRIMINALE IMPRENDIBILE. E' da sette anni che, soprattutto nelle zone di confine tra le regioni Veneto e Friuli Venezia Giulia, che "Unabomber" colpisce con ordigni lasciati in ogni dove. Tubi esplosi o inesplosi sono stati trovati ovunque. Per il momento gli episodi accertati sono 23 dal 1993 ad oggi, e tutti nelle province di Prodenone (11 casi), Venezia (7 casi) e Udine (5 casi). Un modus operandi che lo caratterizza: maniacale perfezionamento dell'ordigno, nessuna impronta digitale, colpisce sempre 2 volte nello stesso luogo. Il soprannome "Unabomber" deriva dall'appellativo dato al prof. Theodor John Kaczynski che dal 1978 al 1995 ha mutilato almeno una ventina di persone e ne ha uccise 3 mandando pacchi bomba per posta. E' condannato attualmente a 4 ergastoli.
non comprate per un giorno frangia armata dei c.c.c.c.c. italiana anarKo insurrezionalisti >> Unabomber, buio sul tubetto esplosivo CORDIGNANO Consegnate dai carabinieri del Ris di Parma le analisi tecniche, nessuna traccia che possa portare all’identificazione del colpevole. Negativi i test del Dna su 5 indagati, Nadia Ros era rimasta ferita mentre preparava il sugo per la cena. - da Il Gazzettino del 18/08/2001
--------------------------------------------------------------------------------
Le analisi dei carabinieri del Ris, il Raggruppamento investigazioni scientifiche di Parma, non hanno portato risultati utili per restringere il campo della ricerca di Unabomber , ossia della persona che ha confezionato il tubetto di salsa esplosiva che la sera del 6 novembre dell'anno scorso ha ferito a una mano Nadia Ros, trentottenne di Cordignano. La donna era in casa e stava preparando il sugo per lo spezzatino della cena quando il tubetto di salsa che stava aprendo è esploso: il botto fu assordante e il colpo le provocò l'amputazione del pollice sinistro. Il tubetto era stato comprato in un ipermercato di Portogruaro, al quale la donna ha annunciato di voler far causa per ottenere un risarcimento dei danni. Nello stesso ipermercato era stato acquistato anche l'uovo all'esplosivo di qualche giorno prima. Su quell'uovo sono state trovate tracce biologiche, analizzate dai carabinieri della Scientifica (comandati dal tenente colonnello Luciano Garofano) e comparate con quelle di 5 sospettati, ma quei confronti hanno dato esito negativo. Il Dna non corrispondeva e gli indizi nei confronti dei 5 si sono affievoliti. La relazione sul tubetto trevigiano, dopo che il sostituto procuratore Luisa Napolitano aveva affidato l'incarico agli stessi esperti, è arrivata molto più tardi; un ritardo inspiegabile, stando almeno ai risultati, che sono stati assolutamente privi di rilievo per le indagini. Sul tubetto non è stato trovato nulla che potesse aiutare gli investigatori a privilegiare una delle tante piste che sono state aperte per stringere il cerchio intorno all'attentatore.
E così le indagini, in attesa di altri riscontri in corso e dei risultati delle inchieste aperte dalle Procure di Treviso, Venezia, Udine e Pordenone, sono in una situazione di stallo. Unabomber , tuttavia, potrebbe non poter dormire sonni tranquilli molto a lungo. Gli investigatori delle quattro province interessate alle inchieste si stanno infatti tenendo in costante contatto e si stanno scambiando dati, sia oggettivi (i risultati delle indagini) sia soggettivi (ossia sulla personalità del cosiddetto Unabomber ).
Non comprate nei supermercati e gli ipermercati italiani, potrebbe risultare gravemente nocivo alla vostra salute !
non comprate per un giorno frangia armata dei c.c.c.c.c. italiana anarKo insurrezionalisti
http://www.criminal.it/criminali/unabomber/unabomber01.htm
camposanto: donna ferita gravemente,giá pronta per la sua FO$$A NOI seguiamo ed uccidiamo chi affitta filmini porno nei blockBusters o fa la spesa negli ipermercati a stellestrisce in tutto il mondo:siete avvisati e mezzi ...schioppati ! hahaha
Unabomber al camposanto: donna ferita TREVISO Un misterioso criminale ha nascosto un ordigno esplosivo in un cero rosso al cimitero di Motta di Livenza. Lo scoppio le ha provocato la perdita dell’occhio destro, l’amputazione di tre dita e ustioni al volto e alle braccia. Di Giancarlo D'Agostino e Tiziano Graziottin - su Il Gazzettino del 03/11/2001 -------------------------------------------------------------------------------- Un anno. Un anno senza più rimettersi in gioco, facendosi beffe di chi, da quasi un decennio, gli sta dando la caccia. Unabomber è tornato in azione, ieri pomeriggio. Con effetti ancora devastanti. Per colpire, questa volta, ha scelto il cimitero di Motta di Livenza (Treviso). Nel giorno dei Morti. L'ordigno, lo aveva nascosto in un cero finito casualmente nelle mani di una devota, e scoppiato all'istante. La donna, Anita Buosi, 63 anni del luogo, da ieri sera si trova ricoverata nel Centro di Chirurgia plastica di Padova, dopo che in un primo momento era stata trasportata con l'elicottero del Suem all'ospedale Ca' Foncello di Treviso per essere curata nella Rianimazione del Pronto soccorso. Lo scoppio le aveva provocato infatti la perdita dell'occhio destro, l'amputazione di due dita della mano sinistra e quella parziale del pollice della mano destra, oltre ad ustioni al volto e alle braccia. I medici si sono riservati la prognosi, anche se al Pronto soccorso Anita Buosi era perfettamente cosciente ed in grado di ricordare quanto le era appena accaduto.
«Mi trovavo in una cappella del cimitero per mettere un po' di ordine - così la donna ha lucidamente ricordato le fasi dello scoppio, immediatamente dopo essere stata trasportata al pronto soccorso con l'elicottero del Suem - ed ho visto in una nicchia un cero spento, più grosso degli altri, di colore rosso. Pensavo che qualcuno lo avesse dimenticato. L'ho preso e mi è scoppiato in mano». Le dichiarazioni sono state immediatamente registrate da carabinieri e Digos; per gli inquirenti, nessun dubbio: Unabomber era ritornato in azione, dopo un anno di silenzio. Da quando, era il 6 novembre, un tubetto di conserva acquistato in un centro commerciale di Portogruaro era esploso nelle mani di una giovane donna di Cordignano.La donna, una pensionata nubile tornata a Motta dopo gli anni di lavoro a Milano, ha pagato cara proprio la sua bontà d'animo e il suo spirito di servizio: da sempre cura le tombe dei frati del Santuario della Madonna (anche ieri mattina aveva partecipato alla Messa in basilica leggendo uno dei salmi) ma tiene in ordine anche quelle che vede disadorne. Ieri in una cappella vicina, di un'antica famiglia di Motta, ha visto il cero rosso e forse ha tentato di accenderlo. Un giallo da dove arrivi quel cero: di certo non faceva parte di quelli che la signora aveva ricevuto dai frati mercoledì, tutti bianchi. Il botto è stato talmente forte che si è sentito anche all'esterno del cimitero. «Erano circa le 16 - racconta colui che ha soccorso la signora Anita- quando ho udito uno scoppio tremendo. Ho intravisto una donna in una nuvola di fumo bianco, ho sentito le urla: "è una bomba, è una bomba, portatemi all'ospedale". Era all'interno di una tomba di famiglia, di quelle aperte, senza un cancello. Subito le sono corso appresso, era a pochi metri da me. Aveva le dita di una mano mozzate, si vedevano le punte per terra. Il sangue le usciva copioso dalle ferite. Era ferita anche al volto, vicino ad un occhio. Continua a gridare ed a gemere, è una bomba, portatemi all'ospedale. L'ho accompagnata fuori, aiutandola come potevo».
Anche tra le persone presenti in cimitero il pensiero è corso subito a Unabomber: i testimoni accorsi sul posto hanno notato una batteria per terra, ora in mano alla Polizia Scientifica, nonchè pezzi di metallo (qualcuno parla anche di chiodi) tutt'intorno. Già nella tarda serata di ieri è arrivato l'ordinanza del sindaco di Motta Graziano Panighel di chiusura del cimitero: l'area dovrà essere bonificata in quanto evidentemente non può essere esclusa la presenza di altri ceri od oggetti a rischio. Scosso lo stesso sindaco mottense: nel giro di tre settimane prima è arrivata la notizia che a Motta operava una cellula islamica legata a Bin Laden, poi è stata lanciata una bomba carta contro un esponente religioso della comunità musulmana locale, infine il terribile episodio di ieri.
Non comprate nei supermercati e gli ipermercati italiani, potrebbe risultare gravemente nocivo alla vostra salute !
non comprate per un giorno frangia armata dei c.c.c.c.c. italiana anarKo insurrezionalisti
http://www.criminal.it/criminali/unabomber/unabomber06.htm
LA BOMBA IN CIMITERO:salti e cadi nella FOSSA >> Una batteria la "firma" di Unabomber LA BOMBA IN CIMITERO Gli artificieri hanno bonificato l’area raccogliendo tutti i lumini. Confermato il ritrovamento . Una lunga scia di sangue dal luogo dell’esplosione a quello dove è stata condotta Anita Buosi in attesa dei soccorsi. Di Annalisa Fregonese - su Il Gazzettino del 04/11/2001
--------------------------------------------------------------------------------
Un furgone degli artificieri sosta davanti al cimitero di San Giovanni. Fra le lapidi passano Carabinieri e uomini della Digos. Spostano i fiori, guardano nei vasi, raccolgono i lumini. C'è un'ordinanza del sindaco Panighel: rimuovere i lumini, grandi o piccoli, rossi o bianchi che siano. Gli uomini in divisa setacciano le lapidi, quei lumini, collocati con fede, con una preghiera, da mani affettuose sulla tomba dei loro cari, spariscono dentro i sacchi neri della spazzatura. Non si può scherzare, è un problema di sicurezza collettiva, guai se ci fosse un altro, micidiale ordigno, come quello che ha colpito Anita Buosi, la donna che venerdì è rimasta gravemente ferita dallo scoppio di una bomba cammuffata da lumino. Al cimitero di San Giovanni un via vai simile di uomini in divisa non s'era mai visto. Un po' più avanti, sulla Provinciale che conduce a Motta, c'è un posto di blocco della Stradale. Lampeggiano le luci blu, precedono l'arrivo degli investigatori. Un uomo va spedito verso l' ingresso, porta un aspirapolvere. Servirà per raccogliere, sul luogo dello scoppio, i resti dell'ordigno. Le parti più evidenti, dalla batteria che lo alimentava (il ritrovamento, anticipato dalGazzettino, è stato confermato), a pezzetti di ferro, sono già state portate via. «Per fortuna - racconta Severino Furlan che venerdì era al cimitero - in quel momento c'era mio cognato, che è un ex poliziotto. Egli ha allontanato le persone, in modo che le tracce non venissero danneggiate». «Mentre l'aiutavo - annota Luciano Donadon, il primo soccorritore - Anita Buosi mi ha spiegato che aveva visto quel lumino, di grandi dimensioni, collocato sulla nicchia sinistra della tomba. Le è sembrato fuori posto (pare non fosse in verticale, ndr), le è scoppiato non appena l'ha preso in mano». Tenendo i nervi saldi, Donadon ha fatto appello a tutte le sue forze, portando a braccia la donna fuori dal cimitero, attraverso l'uscita laterale. Il sangue ha lasciato una impressionante scia sul sagrato della chiesa, diventando poi pozza nel parcheggio dove Anita Buosi ha atteso l'ambulanza. In chiesa intanto il parroco don Roberto Tubiana celebrava la Messa. Tutti hanno udito lo scoppio. «Pensavamo fosse un grosso petardo» dicono i chierichetti.
http://www.criminal.it/criminali/unabomber/unabomber03.htm
il micidiale ordigno >> Probabilmente il micidiale ordigno è stato piazzato nella notte di giovedì.
Una grande macchia rossa sull'asfalto, nel piazzale tra la chiesa e il cimitero, e risalendo a ritroso una lunga scia di sangue che corre davanti all'edificio religioso e porta, da un accesso laterale del camposanto, al luogo dell'esplosione di venerdì pomeriggio.
Come sempre è una via di sangue e di sofferenza quella che porta a Unabomber , lo psicopatico che sta terrorizzando il Nordest e la Marca. «E come sempre - confida un inquirente davanti al monumentale cimitero di San Giovanni - non voleva uccidere ma fare molto male. È uno di qua, vive tra Veneto e Friuli, e non sopporta di stare troppo lontano dalla luce dei riflettori». Già, tutta quella pubblicità sulla cellula islamica a Motta, tutti quei titoli per una bomba carta ai danni di un leader religioso islamico nella stessa città, devono averlo convinto che il luogo dal quale rilanciare la sfida era proprio il centro liventino.
Portare un messaggio di morte nel giorno dei Morti; ecco quel che deve aver fatto scattare ancora la molla della follia. Di molle e congegni, del resto, lui se ne intende: probabilmente proprio giovedì notte ha piazzato il micidiale ordigno che ha squarciato la mano di Anita Buosi e il residuo di serenità di tanti mottensi.
La signora ferita ha spiegato agli inquirenti che quel cero fuori posto giovedì non c'era, che lei lì davanti c'era passata e non l'aveva visto; venerdì pomeriggio invece l'ha notato, fuori posto (o forse appoggiato per terra), lo ha preso per rimetterlo in ordine, e poi è stato solo rumore e dolore. A terra sono rimasti pezzi di metallo e, come avevano raccontato i primi testimoni ai nostri cronisti, la batteria che alimentava il dannato congegno; chiodi, secondo quel che trapela, non ne sono stati trovati.
Ieri è stata giornata pesante per gli artificieri, che hanno "bonificato", come dicono loro, il cimitero: un incredibile lavoro di screening e raccolta di tutti i ceri collocati nel camposanto. Fuori, la gente annichilita: fin dalla prima mattinata una processione di persone e tra qualche curioso anche tanti anziani, giunti per portare un fiore ai defunti e respinti con garbo e fermezza all'accesso. «È come se avessero messo una bomba in chiesa», mormora uno di loro scuotendo la testa.
Il sindaco di Motta, Graziano Panighel, che in venti giorni si è trovato tre volte sbattuto in prima pagina e sui Tg nazionali assieme alla sua comunità, si sforza di apparire tranquillo: «La bomba carta e l'ordigno del cimitero non sono collegati, solo casualità. La gente deve stare tranquilla, l'incolumità dei nostri concittadini non è in discussione». Magari Anita Buosi la pensa diversamente, ma ieri con ammirevole spirito la 63enne signora ha mandato dall'ospedale di Padova un messaggio di pace al folle che ha messo il cero-bomba in cimitero, Unabomber o chiunque esso sia: «Mettiti una mano sulla coscienza, altri hanno sofferto per te, non farlo più». Anita Buosi a causa dell'esplosione ha perso il mignolo della mano sinistra, la falange di un dito della destra e solo tra qualche settimana i medici potranno valutare la funzionalità del pollice destro che le è stato riattaccato; non è detto che riacquisti la vista dall'occhio destro. Nel mare di angoscia e preoccupazione che l'ultima azione di Unabomber ha destato le sue parole sono una piccola scialuppa di salvataggio: «Se potessi glielo chiederei in ginocchio di non farlo più».
c.c.c.c.c.
italy.indymedia.org/news/2002/12/136535.php
|
|
versione
stampabile | invia ad un amico
| aggiungi un
commento | apri un dibattito
sul forum |
|
|
Crescerá anche in futuro la represssione per i futuri vertici dei G8?
|
|
by
unabomber del colle dice di sí Friday, Dec. 27, 2002 at 2:22 PM |
mail:
|
A Genova cresce la repressione della polizia tra fermi, bombe vere e bombe false. La zona rossa é sempre più blindada e si stanno erigendo le barriere e le reti metalliche. Intanto in tutta Italia la polizia si scatena in perquisizioni e arresti.I confini sono sempre più chiusi....
Genova si stà blindando velocemente e in maniera massiccia. Le barriere per impedire l'accesso dei manifestanti alla zona rossa iniziano ad essere innalzate. Gli operai del comune le stanno piazzando da ieri sera, togliendole dai bordi delle stada dove erano accatastate. Le operazioni vengono naturalmente monitorate da poliziotti, sempre più agitati. L'accesso alla zona proibita non è ancora stato vietato, ma ai valichi sono gia assiepati numerosi agenti, dislocati in maniera da non lasciare zone scoperte e spesso in contatto visivo gl'uni con gl'altri. La tensione sale, anche a causa dei diversi pacchi bomba (veri o presunti) che continuano ad essere recapitati qua e la per la citta' . Questa mattina ne e' arrivato uno alla caserma di San Fruttuoso. Esplodendo ha ferito abbastanza gravemente un'agente. Il GSF ha denunciato l'atto, ma ha preso posizione anche contro la strategia del terrore che qualcuno (si sussurra dei dervizi segreti) sembra aver innescato. Nel pomeriggio è stato fatto saltare lo sportello di un furgoncino sospettato di contenere esplosivo. Un secondo ordigno e' stato rinvenuto sotto un camper in prossimita' dello stadio Carlini. Nascosto in una valigia dalla quale spuntavano cavi elettrici, e' stato fatto brillare dagli artificieri subito accorsi. La politica adottata dalla polizia non favorisce certamente una distensione. Questa mattina alcuni ragazzi delle Tute Bianche sono stati assaliti da sbirri all'uscita di un negozio dove si erano recati per acquistare il plexigliass necessario alla protezioni . L'intento delle forze dell'ordine era di sequestrare il materiale. Fortunatamente non ci sono riusciti. Hanno pero' trattenuto uno dei ragazzi, portandolo in qustura. Una volta la gli e' stata negata la possibilita', dovuta per legge, di contattare l'avvocato. Lo hanno fatto per lui i compagni da fuori. L' avvocato non e' pero' riuscito a rintracciare il ragazzo, portato in questura alla chetichella da una porta secondaria.La polizia ha poi inventato di sana pianta la storia che il plexiglass fosse stato rubato e che il gestore li avesse denunciati. La storia serviva come pretesto per una perquisizione allo stadio Carlino, dove si trovano gia accampati circa trecento attivisti. Una pronta smentita del propietario dell'esercizio e la ricevuta dell'acquisto hanno permesso di smontare la bugia. Irruzioni e controlli si stanno svolgendo infruttuosamente in varie parti d'Italia. A Torino venti agenti della Digos sono irrotti all'Askatasuna. Altrettanto si e' verificato all'Alcova occupata (sempre Torino), mentre a Bologna e Roma sono state perquisite varie abitazioni di attivisti. Nella capitale,e anche a Milano(dove la pula è arrivata numerosa alla Villetta Occupata degli anarchici) ci sono stati oltre alle perqì, arresti motivati con detenzione di stupefacenti. Situazione tesa anche alla frontiera Italo-Svizzera di Chiasso,dove alcuni attivisti del gruppo ciclistico fermati ieri su segnalazione della polizia tedesca, hanno tentato di passare il confine assieme ai ragazzi del treno tedesco. Il tentativo è fallito, la polizia è salita sul treno e ne ha tirato giù a calci gli interdetti, arrestando 4 persone. A questa violenza i compagni delle vittime hanno reagito occupando la stazione.Immediatamente storditi con i lacrimogeni e caricati violentemente, i manifestanti hanno ripiegato sulla dogana, occupandola e bloccando l'autostrada. La situazione inizia a farsi pesante. Abbiamo bisogno di tutti: raggiungeteci a Genova. engl ver. Genova is rapidly becoming a fortress by ways of increasing the barriers for the demonstrators to access to the red zone. The city workers have been since yesterday replacing barricades from the streets where the latter were previously kept, to remove them onto the actual barricaded zones, all this done under police surveilance.The access to the red zone hasn't been denied yet, though, the police agents have been placed in the merging red-yellow areas, so as to keep an eye on eventual leak-zones, and carefully , so as to have a clear sight over the situation.The tension in the city is increasing due also to the presupposed or real unabomber attacks, which recently occured in random places around the town. This morning a bomb has been sent to the local police station of San Fruttuoso, injuring badly a policeman on duty.The GSF has condemned this act, but has at the same time also taken the position against the terror strategy that the authorities(presuposedly secret services) are using to criminalise and weaken the cohesion of the movement. In the afternoon, after the presupposed bomb alarm, a lorry- door has been blown up.During the same afternoon, a surrounding area of the stadium Carlini, has been put on alert due to a suspected bomb placement, which has been found out in a work-suitcase, laying in front of the stadium. .The politics of the police doesn not certainly favour a distention.This same morning, some boys from Tutte Bianche have been assaulted by the policemen on their way out of the shop where they were buying plexigll as protection material.The intention of police forces was to confiscate the materials. They did not succeeed , but they have taken one of the boys to the police station. The boy has been denied the right to a lawyer, and his comrades have contacted one it instead.Unfortunately the lawyer didn't manage to trace the boy, as the police has taken him away trough a secondary door.The police has then invented a story of stollen plexiglass and of a denunciation of the boys from the owner of the shop(: This story was practically used as a pretext for a raid, perquisition of the stadium Carlini, where around 300 activists are currently lodging.The obvious lie has been dismantled by simple receids obtained from the owner of the shop. Irruptions and controlls are taking place in different towns across Italy.In Torino 20 poilicemen have raided the squatt Askatasuna as well as Ascova.In Bologna and in Rome, various houses of activists have been searched.In Milano, as well as in Rome, people have been arrested and searched under the pretext of possessing drugs among other reasons.The situation is intense also at the swiss-italian border , where a group of activists-cyclists on their way to Genova has been denied entrance, and has after several repeated attempts to come with the trains, been violently kicked off the train.4 people have been arrested. As an answer to this violations, the group has occupied an empty house at the Chiasso border .Suddenly attacked by the police, the border demonstrators have occupied the highway. The situation is becoming heavy.We need you all: join us in Genova.
updated English translation Genoa is rapidly becoming a fortress, increasing the barriers and restricting demonstrators' access to the red zone.
The City workers have been busy since yesterday erecting street barricades under police surveilance. Access to the red zone has not yet been denied, but police have been placed in the merging red-yellow areas to keep an eye on eventual leak-zones, and to have a clear overview of the situation.
The tension in the City is increasing, due also to the fabricated or real "unabomber"-style attacks, which have recently occured in random places around the town. On Monday morning, a package-bomb was sent to the local police station of Santo Fruttuoso, badly injuring the policeman on duty. The Genoa Social Forum has condemned this act, but has at the same time also taken a stance against the terror strategy that the authorities (perhaps the secret services) to are using to criminalise and weaken the cohesion of the movement. Police policy is difficult to discern.
In the afternoon after the supposed bomb alarm, a lorry- door was blown up. During the same afternoon, that area around Carlini Stadium, where 300 activists are currently lodging, was searched due to a bomb threat. A small incendiary device was found inside a suitcase, laying in front of the stadium.
This same morning, several Tutte Bianche members were apprehended by policemen on their way out of a shop where they were buying plexiglass as protection material. The intention of police forces was to confiscate the materials. They did not succeeed, but they took one member to the police station.
The member was denied the right to a lawyer, and his comrades have contacted one for him. Unfortunately the lawyer didn' t manage to trace the member, as the police had taken him away through a secondary door.The police then invented a story of stolen plexiglass and of a denunciation of the Bianchis from the ownerì of the shop.
This story was used as a pretext for a raid of the Carlini stadium. The obvious lie was dismantled by simple receipts obtained from the owner of the shop.
Altercations and controls are taking place in different towns across Italy. In Torino 20 poilicemen have raided the squats Askatasuna and Ascova. In Bologna and in Rome, houses of various activists have been searched. In Milan, as well as in Rome, people have been arrested and searched under the pretext of their supposedly possessing drugs, among other reasons.
The situation is tense also at the swiss-italian border, where a group of activist-cyclists on their way to Genoa were denied entrance. After the cyclists' several repeated attempts to cross in an activist train, they were violently kicked off the train. 4 people have been arrested. In response to these violations, the group has occupied an empty house by the police station and border demonstrators have also occupied the highway.
The situation is getting heavy.We need you all: join us in Genoa.
italy.indymedia.org/news/2001/07/2822_comment.php#2849
|
|
versione
stampabile | invia ad un amico
| aggiungi un
commento | apri un dibattito
sul forum |
|
|
MESSAGGIO PER GLI INDYANI
|
|
by
unabomber Friday, Dec. 27, 2002 at 2:28 PM |
mail:
|
unabombervittima.jpg, image/jpeg, 328x262
Qui sotto quattro link, così vi risparmiate la fatica, però date una controllata.
http://italy.indymedia.org/news/2002/12/134811.php http://italy.indymedia.org/news/2002/12/136398.php http://italy.indymedia.org/news/2002/12/136535.php http://italy.indymedia.org/news/2002/12/136557.php
E' da sette anni che,soprattutto nelle zone di confine tra le regioni Veneto e Friuli Venezia Giulia,che"Unabomber"colpisce con ordigni lasciati in ogni dove.
UN CRIMINALE IMPRENDIBILE. E' da sette anni che, soprattutto nelle zone di confine tra le regioni Veneto e Friuli Venezia Giulia, che "Unabomber" colpisce con ordigni lasciati in ogni dove. Tubi esplosi o inesplosi sono stati trovati ovunque. Per il momento gli episodi accertati sono 23 dal 1993 ad oggi, e tutti nelle province di Prodenone (11 casi), Venezia (7 casi) e Udine (5 casi). Un modus operandi che lo caratterizza: maniacale perfezionamento dell'ordigno, nessuna impronta digitale, colpisce sempre 2 volte nello stesso luogo. Il soprannome "Unabomber" deriva dall'appellativo dato al prof. Theodor John Kaczynski che dal 1978 al 1995 ha mutilato almeno una ventina di persone e ne ha uccise 3 mandando pacchi bomba per posta. E' condannato attualmente a 4 ergastoli.
non comprate per un giorno frangia armata dei c.c.c.c.c. italiana anarKo insurrezionalisti
http://www.criminal.it/criminali/unabomber/dossier_unabomber.htm
italy.indymedia.org/news/2002/12/136535.php
|
|
versione
stampabile | invia ad un amico
| aggiungi un
commento | apri un dibattito
sul forum |
|
|
fascisti e comunisti fuori dalla storia
|
|
by
bidi bodi boo Saturday, Jun. 14, 2003 at 9:00 PM |
mail:
|
Che rottura che siete, ma non lo avete ancora capito che siete fuori dalla storia ormai???? La gente vuole LIBERTA' altro che le vostre stronzate fasciste e comuniste, SIETE ROBA VECCHIA E INGIALLITA DEL SECOLO SCORSO e la storia non la fermerete certo con i vostre patetici cortei. I POPOLI LIBERI VI VOMITANO ADDOSSO!
|
|
versione
stampabile | invia ad un amico
| aggiungi un
commento | apri un dibattito
sul forum |
|
|